lundi 25 septembre 2017
Le president américain a déclaré la guerre à Corée du Nord selon le chef de la diplomatie nord-coréenne.
Comme l’a annoncé le chef nord-coréen de la diplomatie, le Président américain a déclaré la guerre aux citoyens de la Corée du Nord. Pyongyang se réserve donc le droit d’abattre les bombardiers stratégiques américains.
Selon le ministre nord-coréen des Affaires étrangères Ri Yong-hoe, après que Donald Trump a déclaré la guerre à la Corée du Nord, Pyongyang est en droit d’abattre les bombardiers stratégiques américains.
«Les États-Unis ayant déclaré la guerre à notre pays, nous avons le droit absolu de prendre des mesures de riposte. En particulier, nous nous réservons le droit d’abattre les bombardiers stratégiques américains, même s’ils n'enfreignent pas notre espace aérien», a-t-il précisé.
En outre, le ministre nord-coréen des Affaires étrangères a ajouté que Pyongyang envisagerait toutes les options pour répondre au Président américain.
Assange réagit aux menaces de Trump à l'égard de Pyongyang
À la tribune de l'Assemblée générale des Nations unies, le ministre nord-coréen des Affaires étrangères a qualifié samedi d'insultes les propos tenus par le Président américain Donald Trump au sujet du dirigeant nord-coréen Kim Jong-un, avant de proférer de nouvelles menaces à l'endroit des États-Unis. Qualifié de «gangster», de «personne dérangée» et de «roi menteur», le dirigeant américain «représente l'une des plus grandes menaces pour la paix», a ajouté le ministre. Donald Trump n'a pas pu ne pas réagir: sur Twitter, il a lancé des menaces directes à l'encontre des autorités nord-coréennes.
Outre l'escalade verbale, une démonstration de force américaine s'est ajoutée au conflit entre Washington et Pyongyang. Des bombardiers US ont survolé une partie de la côte orientale de la Corée du Nord pour montrer que Washington dispose «de nombreuses options militaires», a annoncé samedi le Pentagone.
Pyongyang a récemment déclaré avoir achevé les préparatifs d'une frappe contre l'île de Guam, située dans l'océan Pacifique, qui abrite la base aérienne américaine d'Andersen et la base navale Apra Harbor.
Alceus.Dilson journaliste
Source. sputnik.fr
dimanche 24 septembre 2017
La guerre de l’information en Haiti nul n'est à l'abri.
La guerre de l’information recouvre l’ensemble des champs conflictuels où l’information est utilisée comme une arme offensive pour affaiblir, déstabiliser ou détruire un adversaire. Les techniques offensives de la guerre de l’information peuvent prendre la forme de la désinformation, de la manipulation, de la rumeur, de la propagande… Il s’agit donc de méthodes subversives pouvant être efficacement déployées sur l’ensemble des canaux de communication à disposition (interne, externe, Internet, Intranet, prolifération orale …) pour ajouter le whatsapp qui devient une plateforme incontournable dans la transmission des messages
Depuis quelque temps ,le Facebook devient le moyen le plus facile pour que les Citoyens puissent partager leur accord et leur désaccord avec les hommes politiques et le pouvoir en place .On trouve des gens mal intentioné qui utilisent les réseaux pour intoxiquer l'opinion publique à tort et raison par des fausses informations montées de toutes pièces pour orienter l'opinion publique. Ils utilisent le whatsapp aussi pour faire circuler l'information la plus rapide que possible .Il est difficile d'identifier les Auteurs de ces messages
Cacher derrière le whatsapp pour lancer des fausses informations est une forme de lâcheté ,la démocratie demande des hommes courageux 'ceux qui n'ont pas peur daffimer pour la défendre quelque soit les circonstances . Dans un pays où les dirigés ne croient pas dans leur dirigeants,on se demande a qui peut-on faire confiance? La confiance est l'élément de base de toutes les gouvernances, lorsque les gouvernements est en chute de confiance la population est livrée à eux même tout est deveni possible. Pas de gouvernance sans la confiance
Une population qui ne reçois ce qu'on appelle l'éducation numérique est très exposée ,par conséquent nous demandons avec la population en générale de faire très attention avec les messages circulant sur Facebook ' whatsapp afin de ne pas laisser manipuler par les hommes politiques. Il faut prendre du temps pour analyser les informations avant de les partager dans des groupes whatsapp,Facebook .C'est très dangereux de partager un message sur WhatsApp sans faire une analyse profonde sans analyser les impacts de celui-ci. Avec la montée de la technologie l'information devient l'arme la plus puissante des politiciens. fait attention,un message pourrait constructif et destructif à la fois.
Alceus.Dilson journaliste
samedi 23 septembre 2017
Les Haïtiens se laissent manipuler comme au temps de la colonie .
Source:Tripotay lakay
vendredi 22 septembre 2017
une démonstration de force du président de la république.
endredi 22 Septembre 2017.- Plusieurs hommes en tenue militaire et qui s’identifient comme membres des forces armées d’Haïti ont été remarqués au niveau de la route de l’aéroport, Port-au-Prince, selon un reporteur présent sur les lieux.
Ces militaires portent des gilets neufs dûment identifiés forces armées d’Haïti et ils sont munis d’armes de poing, a constaté le reporteur .
Ces hommes armés ont expliqué qu’ils sont venus accueillir, à l’aéroport international de Toussaint Louverture, le Président de la République Jovenel Moïse qui est rentré aujourd’hui dans le pays, après sa participation à la 72ème Assemblée Générale de l’Organisation des Nations-Unies.
Toutefois, certains d’entre eux interrogés par la presse n’étaient pas en mesure de donner le nom de leur commandant en chef. La plupart d’entre eux circulent à bord de véhicules de plaque d’immatriculation privée.
A rappeler que le Chef de l’Etat haïtien, lors de son intervention à la tribune de l’ONU, hier jeudi, avait renouvelé sa détermination de remobiliser les Forces Armées d’Haïti.
Il est aussi à souligner la présence de plusieurs manifestants identifiés comme partisans du Parti Haïtien Tèt Kale (PHTK), devant l’aéroport international Toussaint Louverture pour recevoir le Président Jovenel Moïse. Une situation qui affecte la circulation des vehicules dans la zone.
Des agents de la Police Nationale d’Haïti ont été aussi déployés à l’occasion.
source :
Vant Bèf Info
Alceus.Dilson journaliste
Ces militaires portent des gilets neufs dûment identifiés forces armées d’Haïti et ils sont munis d’armes de poing, a constaté le reporteur .
Ces hommes armés ont expliqué qu’ils sont venus accueillir, à l’aéroport international de Toussaint Louverture, le Président de la République Jovenel Moïse qui est rentré aujourd’hui dans le pays, après sa participation à la 72ème Assemblée Générale de l’Organisation des Nations-Unies.
Toutefois, certains d’entre eux interrogés par la presse n’étaient pas en mesure de donner le nom de leur commandant en chef. La plupart d’entre eux circulent à bord de véhicules de plaque d’immatriculation privée.
A rappeler que le Chef de l’Etat haïtien, lors de son intervention à la tribune de l’ONU, hier jeudi, avait renouvelé sa détermination de remobiliser les Forces Armées d’Haïti.
Il est aussi à souligner la présence de plusieurs manifestants identifiés comme partisans du Parti Haïtien Tèt Kale (PHTK), devant l’aéroport international Toussaint Louverture pour recevoir le Président Jovenel Moïse. Une situation qui affecte la circulation des vehicules dans la zone.
Des agents de la Police Nationale d’Haïti ont été aussi déployés à l’occasion.
source :
Vant Bèf Info
Alceus.Dilson journaliste
mardi 19 septembre 2017
Les etats unis menace de détruire la Corée du Nord complètement.
Le dirigeant nord-coréen Kim Jong-Un est embarqué dans « une mission-suicide », a lancé le président américain…
Son discours devant l’ONU était très attendu. Le président américain Donald Trump s’en est fermement pris ce mardi à la Corée du Nord, un « régime vicieux », menaçant de « détruire totalement » ce pays en cas d’attaque de Pyongyang. « Si nous sommes forcés de nous défendre, ou de défendre nos alliés, nous n’aurons pas d’autre choix. »
Le dirigeant nord-coréen Kim Jong-Un est embarqué dans « une mission-suicide », a lancé le président américain lors de son premier discours devant l’Assemblée générale des Nations Unies, le qualifiant à nouveau d'« homme-fusée ». « Il est temps que toutes les nations du monde travaillent ensemble pour isoler le régime de Kim », a-t-il ajouté.
Il a mis en garde les Etats « qui auraient des échanges commerciaux avec un tel régime »
La diplomatie américaine assure que Washington ne vise pas la chute du régime nord-coréen, mais Donald Trump menace régulièrement d’une action militaire Pyongyang, qui multiplie les essais balistiques et nucléaires. « Les Etats-Unis sont prêts, disposés et en mesure » de répondre militairement à Pyongyang, « mais espérons que cela ne sera pas nécessaire », a-t-il ajouté.
Donald Trump a mis en garde les Etats « qui non seulement auraient des échanges commerciaux avec un tel régime, mais fourniraient aussi des armes et un soutien financier à un pays qui risque de faire plonger le monde dans un conflit nucléaire ». Il a estimé que c’était « tout le rôle » de l’ONU de gérer ce type de crises, saluant la récente adoption unanime de sanctions de plus en plus fermes contre la Corée du Nord et remerciant la Russie et la Chine qui ont donné leur aval malgré leur soutien à Pyongyang.
Alceus.Dilson journaliste
Source : 20 minutes.fr
Son discours devant l’ONU était très attendu. Le président américain Donald Trump s’en est fermement pris ce mardi à la Corée du Nord, un « régime vicieux », menaçant de « détruire totalement » ce pays en cas d’attaque de Pyongyang. « Si nous sommes forcés de nous défendre, ou de défendre nos alliés, nous n’aurons pas d’autre choix. »
Le dirigeant nord-coréen Kim Jong-Un est embarqué dans « une mission-suicide », a lancé le président américain lors de son premier discours devant l’Assemblée générale des Nations Unies, le qualifiant à nouveau d'« homme-fusée ». « Il est temps que toutes les nations du monde travaillent ensemble pour isoler le régime de Kim », a-t-il ajouté.
Il a mis en garde les Etats « qui auraient des échanges commerciaux avec un tel régime »
La diplomatie américaine assure que Washington ne vise pas la chute du régime nord-coréen, mais Donald Trump menace régulièrement d’une action militaire Pyongyang, qui multiplie les essais balistiques et nucléaires. « Les Etats-Unis sont prêts, disposés et en mesure » de répondre militairement à Pyongyang, « mais espérons que cela ne sera pas nécessaire », a-t-il ajouté.
Donald Trump a mis en garde les Etats « qui non seulement auraient des échanges commerciaux avec un tel régime, mais fourniraient aussi des armes et un soutien financier à un pays qui risque de faire plonger le monde dans un conflit nucléaire ». Il a estimé que c’était « tout le rôle » de l’ONU de gérer ce type de crises, saluant la récente adoption unanime de sanctions de plus en plus fermes contre la Corée du Nord et remerciant la Russie et la Chine qui ont donné leur aval malgré leur soutien à Pyongyang.
Alceus.Dilson journaliste
Source : 20 minutes.fr
Un puissant tremblement de terre vient de frapper le Mexique.
O - La secousse, de magnitude 7,1 a provoqué des scènes de panique
Un séisme de magnitude 7,1 a secoué Mexico et ses alentours, mardi, provoquant des scènes de panique dans cette mégapole de 20 millions d'habitants. La secousse est survenue quelques heures seulement après des exercices antisismiques qui se sont déroulés dans l'ensemble du pays, le jour même de l'anniversaire du plus puissant tremblement de terre qu'aie connu le Mexique, il y a 32 ans, faisant plus de 10.000 morts.
Plusieurs bâtiments dans la ville ont subi d'importants dégâts, comme en témoignent des vidéos circulant sur les réseaux sociaux. Selon le président Enrique Pena Nieto, au moins 27 d'entre eux ce sont compètement effondrés. Des explosions et plusieurs départs d'incendie ont été signalés dans divers bâtiments où, selon la protection civile, des personnes se trouvaient prises au piège. Des colonnes de fumée et de poussière étaient visibles sur des plans larges de la capitale diffusés par les télévisions locales.
Aucune information n'était disponible mardi soir sur d'éventuelles victimes dans la capitale même. L'Etat le plus touché est celui de Morelos, dans le centre du pays, où 42 morts étaient dénombrés peu avant minuit (heure française). Huit autres morts ont été recensés dans l'Etat de Mexico, a déclaré son gouverneur, Alfredo Del Mazo. Et deux autres décès ont été signalés dans l'Etat de Puebla.
Des milliers de personnes en panique sont descendues dans les rues au moment de la secousse. Sur les décombres de ce qui était une clinique, des secouristes et des passants avaient formé une chaîne humaine pour déblayer les gravats et tenter d'extraire d'éventuels survivants. Des patients sur des brancards ou des chaises roulantes, dont certains sous perfusion, avaient été évacués sur le trottoir.
La Bourse, l'aéroport et l'université principale fermés
«Je suis bouleversée, je n'arrive pas à m'arrêter de pleurer, c'est le même cauchemar qu'en 1985», a déclaré Georgina Sanchez, 52 ans, en pleurs sur une place de Mexico. «C'était assez fort. Les bâtiments ont commencé à bouger...Les gens étaient très nerveux. J'ai vu une femme qui s'est évanouie. Les gens étaient en train de courir», a témoigné un peu plus loin Alfredo Aguilar, 43 ans.
La Bourse a immédiatement suspendu ses cotations et tous les vols au départ ou à l'arrivée de l'aéroport de Mexico ont été suspendus. L'université nationale autonome de Mexico (Unam), une des principales d'Amérique latine, a annoncé sur son compte Twitter la suspension de ses activités pour inspecter les bâtiments. Les écoles à Mexico et à Puebla ont été évacuées et fermées.
Selon l'Institut géologique américain (USGS), qui avait tout d'abord parlé d'une magnitude 7,4, l'épicentre du séisme de mardi a été localisé à quelques kilomètres au sud-est d'Atencingo, dans l'Etat de Puebla, à une profondeur de 51 kilomètres. Atencingo se trouve à un peu plus de 120 km au sud-est de la capitale.
Le président américain Donald Trump a tweeté mardi son soutien aux habitants de Mexico. «Que Dieu bénisse les gens de Mexico. Nous sommes avec vous et nous serons là pour vous», a tweeté le président, dont les relations avec le Mexique sont exécrables. Début septembre, il s'était vu reprocher d'avoir attendu plusieurs jours avant d'offrir ses condoléances après un terrible séisme dans le sud du pays. D'une magnitude de 8,1, celui-ci avait fait une centaine de mort dans la région du Chiapas.
En septembre 1985, un tremblement de terre de magnitude 8,1 avait dévasté une grande partie de la capitale et fait plus de 10.000 morts. Depuis cette tragédie, les autorités ont durci les réglementations pour la construction et développé un système d'alerte à l'aide de capteurs situés sur les côtes.
AFP
Alceus.Dilson journaliste.
Un séisme de magnitude 7,1 a secoué Mexico et ses alentours, mardi, provoquant des scènes de panique dans cette mégapole de 20 millions d'habitants. La secousse est survenue quelques heures seulement après des exercices antisismiques qui se sont déroulés dans l'ensemble du pays, le jour même de l'anniversaire du plus puissant tremblement de terre qu'aie connu le Mexique, il y a 32 ans, faisant plus de 10.000 morts.
Plusieurs bâtiments dans la ville ont subi d'importants dégâts, comme en témoignent des vidéos circulant sur les réseaux sociaux. Selon le président Enrique Pena Nieto, au moins 27 d'entre eux ce sont compètement effondrés. Des explosions et plusieurs départs d'incendie ont été signalés dans divers bâtiments où, selon la protection civile, des personnes se trouvaient prises au piège. Des colonnes de fumée et de poussière étaient visibles sur des plans larges de la capitale diffusés par les télévisions locales.
Aucune information n'était disponible mardi soir sur d'éventuelles victimes dans la capitale même. L'Etat le plus touché est celui de Morelos, dans le centre du pays, où 42 morts étaient dénombrés peu avant minuit (heure française). Huit autres morts ont été recensés dans l'Etat de Mexico, a déclaré son gouverneur, Alfredo Del Mazo. Et deux autres décès ont été signalés dans l'Etat de Puebla.
Des milliers de personnes en panique sont descendues dans les rues au moment de la secousse. Sur les décombres de ce qui était une clinique, des secouristes et des passants avaient formé une chaîne humaine pour déblayer les gravats et tenter d'extraire d'éventuels survivants. Des patients sur des brancards ou des chaises roulantes, dont certains sous perfusion, avaient été évacués sur le trottoir.
La Bourse, l'aéroport et l'université principale fermés
«Je suis bouleversée, je n'arrive pas à m'arrêter de pleurer, c'est le même cauchemar qu'en 1985», a déclaré Georgina Sanchez, 52 ans, en pleurs sur une place de Mexico. «C'était assez fort. Les bâtiments ont commencé à bouger...Les gens étaient très nerveux. J'ai vu une femme qui s'est évanouie. Les gens étaient en train de courir», a témoigné un peu plus loin Alfredo Aguilar, 43 ans.
La Bourse a immédiatement suspendu ses cotations et tous les vols au départ ou à l'arrivée de l'aéroport de Mexico ont été suspendus. L'université nationale autonome de Mexico (Unam), une des principales d'Amérique latine, a annoncé sur son compte Twitter la suspension de ses activités pour inspecter les bâtiments. Les écoles à Mexico et à Puebla ont été évacuées et fermées.
Selon l'Institut géologique américain (USGS), qui avait tout d'abord parlé d'une magnitude 7,4, l'épicentre du séisme de mardi a été localisé à quelques kilomètres au sud-est d'Atencingo, dans l'Etat de Puebla, à une profondeur de 51 kilomètres. Atencingo se trouve à un peu plus de 120 km au sud-est de la capitale.
Le président américain Donald Trump a tweeté mardi son soutien aux habitants de Mexico. «Que Dieu bénisse les gens de Mexico. Nous sommes avec vous et nous serons là pour vous», a tweeté le président, dont les relations avec le Mexique sont exécrables. Début septembre, il s'était vu reprocher d'avoir attendu plusieurs jours avant d'offrir ses condoléances après un terrible séisme dans le sud du pays. D'une magnitude de 8,1, celui-ci avait fait une centaine de mort dans la région du Chiapas.
En septembre 1985, un tremblement de terre de magnitude 8,1 avait dévasté une grande partie de la capitale et fait plus de 10.000 morts. Depuis cette tragédie, les autorités ont durci les réglementations pour la construction et développé un système d'alerte à l'aide de capteurs situés sur les côtes.
AFP
Alceus.Dilson journaliste.
lundi 18 septembre 2017
Edo Zenny dit toute la vérité ,la vase de la corruption est pleine en Haïti.
source : Tripotay lakay
dimanche 17 septembre 2017
Le president de la république Jovenel Moïse devant un dilemme.
Une opposition qui commence très tôt pour le président de la république, ce qui représente un danger pour le quinquennat du président ,si la caravane a été un outil pour montrer la bonne volonté du président de la république mais il me semble que le budget vient de vanner la caravane qui reste jusqu'à maintenant un projet.Un budget qui va à l'encontre de l'intérêt de la majorité de la population qui étouffe dans la précarité, leur seul espoir c'est de laisser le pays pour aller respirer ailleurs.
Le president de la république se trouve par devant un dilemme, premièrement il se trouve dans l'obligation de publier le budget au regard de la loi ,d'autre part la publication de cette loi risque de compromettre le 5 ans du pouvoir en place,il risque de faire capoter le pouvoir politiquement.Une telle décision serait de jeter d'huile sur le feu de la population ainsi que l'opposition, le rôle du président est multiple il est non seulement le garant de la bonne marche des institutions il joue un role de pacificateur.
Un début d'année scolaire qui annonce très apocalyptique pour le Pays ,la stabilité politique est le seul moyen pouvant nous conduire vers le progrès. Après plus de 30 ans de lutte pour le pouvoir maintenant il est temps de sortir de notre zone de confort, nous sommes des animaux d'habitude. Et nos modes de vie actuels impliquent la répétition des mêmes erreurs , des mêmes actions, des mêmes pensés
Nous nous enfermons alors dans une certaine inertie, nous obligeant à chaque moment à refaire les mêmes chose on devient un peu esclave de nos habitudes et d'une certaine routine. Pour changer le comportement de population cela doit se faire par une autre façon de penser car elle traduit nos comportements quotidiens. Maintenant il revient au hommes politiques de faire un dépassement de soi afin de laisser respirer en peu le pays . Maintenant la balle est lancée dans les pieds du président de république ,de toute façon une décision devrait être prise pour calmer la tension de la population.
Alceus.Dilson journaliste.Le
Le president de la république se trouve par devant un dilemme, premièrement il se trouve dans l'obligation de publier le budget au regard de la loi ,d'autre part la publication de cette loi risque de compromettre le 5 ans du pouvoir en place,il risque de faire capoter le pouvoir politiquement.Une telle décision serait de jeter d'huile sur le feu de la population ainsi que l'opposition, le rôle du président est multiple il est non seulement le garant de la bonne marche des institutions il joue un role de pacificateur.
Un début d'année scolaire qui annonce très apocalyptique pour le Pays ,la stabilité politique est le seul moyen pouvant nous conduire vers le progrès. Après plus de 30 ans de lutte pour le pouvoir maintenant il est temps de sortir de notre zone de confort, nous sommes des animaux d'habitude. Et nos modes de vie actuels impliquent la répétition des mêmes erreurs , des mêmes actions, des mêmes pensés
Nous nous enfermons alors dans une certaine inertie, nous obligeant à chaque moment à refaire les mêmes chose on devient un peu esclave de nos habitudes et d'une certaine routine. Pour changer le comportement de population cela doit se faire par une autre façon de penser car elle traduit nos comportements quotidiens. Maintenant il revient au hommes politiques de faire un dépassement de soi afin de laisser respirer en peu le pays . Maintenant la balle est lancée dans les pieds du président de république ,de toute façon une décision devrait être prise pour calmer la tension de la population.
Alceus.Dilson journaliste.Le
jeudi 14 septembre 2017
L'ancien Senateur Jean-charles Moise lance un ultimatum de 12 jours au president Jovenel Moise pour corriger ses cahiers.
Sur les ondes d’une radio de la capitale Jean-Charles Moïse, le leader du parti de l’opposition « Pitit Dessalin » a donné un ultimatum de 12 jours au Président Moïse, pour renoncer à diverses mesures prises par son administration. Il réclame notamment une baisse du prix des carburants, l’arrêt du processus de formation du Conseil Électoral Permanent (CEP) et de la remobilisation de l’armée et de ne pas publier le budget 2017/2018 dans le journal officiel « Le Moniteur ».
Selon Jean-Charles Moïse, si aucune décision n’est prise par le Chef de l’État dans ce délai concernant les revendications de l’opposition, celle-ci affirme-t-il, organisera une deuxième manifestation qui « hypothéquera l’avenir politique du Président de la République ».
Par ailleurs, l’ancien sénateur Moïse Jean-Charles, s’est excusé dans la presse « [...] Nous nous excusons auprès de l’Ambassade du Canada [victime de jets de pierres], des propriétaires de véhicules incendiés ou endommagés et des propriétaires des entreprises victimes [...] » affirmant que les manifestants n’avaient pas l’intention d’être violent, imputant la responsabilité aux interventions musclées de la Police et à l’entêtement du Chef de l’État qui refuse d’écouter la voix du peuple.
source : Haïti libre .com
Journaliste Alceus.Dilson
mardi 12 septembre 2017
Deuxième journée manifestation, le pouvoir est dans la panique.
Des centaines de personnes ont gagné les rues aujourd’hui contre le vote du projet de la loi de finances 2017-2018 par les parlementaires, a constaté un reporter .Les manifestants lançaient des propos hostiles contre les parlementaires et l’Administration Moïse/Lafontant.
Cependant, la manifestation allait être dispersée par des agents de la Police Nationale d’Haiti, dans un premier temps, non loin de l’église Saint-Jean Bosco au boulevard Lassaline, quelques temps après son lancement.Les forces de l’ordre reprochent aux protestataires de ne les avoir pas notifiées de la tenue de leur mouvement sur la voie publique.Les organisateurs eux se défendent arguant que c’est une manifestation spontanée.
Malgré les interventions de la police, les manifestants ont poursuivi leur parcours. Ils vont faire face, à nouveau, au niveau du quartier de Bel-Air, aux agents du Corps d’intervention et de maintien d’ordre (CIMO) qui se sont intervenus pour disperser la manif. Et, en dernier lieu, les forces de l’ordre allaient utiliser des moyens plus forts pour disperser la manifestation à l’avenue Magloire Ambroise (Port-au-Prince).
Les tenants de cette manifestation parlent des blessés enregistrés dans leur camp. Toutefois, ils annoncent de poursuivre le mouvement ce mardi 12 septembre afin de forcer le Président de la République et son gouvernement à revoir le budget qui n’est pas en faveur des plus pauvres, selon les organisateurs de la manifestation.
A préciser que cette manifestation devrait aboutir devant les ruines du Palais National mais n’a pas pu boucler son parcours.
Source :Zone 509
Journaliste Alceus.Dilson
Cependant, la manifestation allait être dispersée par des agents de la Police Nationale d’Haiti, dans un premier temps, non loin de l’église Saint-Jean Bosco au boulevard Lassaline, quelques temps après son lancement.Les forces de l’ordre reprochent aux protestataires de ne les avoir pas notifiées de la tenue de leur mouvement sur la voie publique.Les organisateurs eux se défendent arguant que c’est une manifestation spontanée.
Malgré les interventions de la police, les manifestants ont poursuivi leur parcours. Ils vont faire face, à nouveau, au niveau du quartier de Bel-Air, aux agents du Corps d’intervention et de maintien d’ordre (CIMO) qui se sont intervenus pour disperser la manif. Et, en dernier lieu, les forces de l’ordre allaient utiliser des moyens plus forts pour disperser la manifestation à l’avenue Magloire Ambroise (Port-au-Prince).
Les tenants de cette manifestation parlent des blessés enregistrés dans leur camp. Toutefois, ils annoncent de poursuivre le mouvement ce mardi 12 septembre afin de forcer le Président de la République et son gouvernement à revoir le budget qui n’est pas en faveur des plus pauvres, selon les organisateurs de la manifestation.
A préciser que cette manifestation devrait aboutir devant les ruines du Palais National mais n’a pas pu boucler son parcours.
Source :Zone 509
Journaliste Alceus.Dilson
lundi 11 septembre 2017
La population Haïtienne dit non à la violence économique imposée par le gouvernement
Des centaines de personnes ont gagné les rues aujourd’hui contre le vote du projet de la loi de finances 2017-2018 par les parlementaires, a constaté un reporter .Les manifestants lançaient des propos hostiles contre les parlementaires et l’Administration Moïse/Lafontant.
Cependant, la manifestation allait être dispersée par des agents de la Police Nationale d’Haiti, dans un premier temps, non loin de l’église Saint-Jean Bosco au boulevard Lassaline, quelques temps après son lancement.Les forces de l’ordre reprochent aux protestataires de ne les avoir pas notifiées de la tenue de leur mouvement sur la voie publique.Les organisateurs eux se défendent arguant que c’est une manifestation spontanée.
Malgré les interventions de la police, les manifestants ont poursuivi leur parcours. Ils vont faire face, à nouveau, au niveau du quartier de Bel-Air, aux agents du Corps d’intervention et de maintien d’ordre (CIMO) qui se sont intervenus pour disperser la manif. Et, en dernier lieu, les forces de l’ordre allaient utiliser des moyens plus forts pour disperser la manifestation à l’avenue Magloire Ambroise (Port-au-Prince).
Les tenants de cette manifestation parlent des blessés enregistrés dans leur camp. Toutefois, ils annoncent de poursuivre le mouvement ce mardi 12 septembre afin de forcer le Président de la République et son gouvernement à revoir le budget qui n’est pas en faveur des plus pauvres, selon les organisateurs de la manifestation.
A préciser que cette manifestation devrait aboutir devant les ruines du Palais National mais n’a pas pu boucler son parcours.
Source :Zone 509
Journaliste Alceus.Dilson
Cependant, la manifestation allait être dispersée par des agents de la Police Nationale d’Haiti, dans un premier temps, non loin de l’église Saint-Jean Bosco au boulevard Lassaline, quelques temps après son lancement.Les forces de l’ordre reprochent aux protestataires de ne les avoir pas notifiées de la tenue de leur mouvement sur la voie publique.Les organisateurs eux se défendent arguant que c’est une manifestation spontanée.
Malgré les interventions de la police, les manifestants ont poursuivi leur parcours. Ils vont faire face, à nouveau, au niveau du quartier de Bel-Air, aux agents du Corps d’intervention et de maintien d’ordre (CIMO) qui se sont intervenus pour disperser la manif. Et, en dernier lieu, les forces de l’ordre allaient utiliser des moyens plus forts pour disperser la manifestation à l’avenue Magloire Ambroise (Port-au-Prince).
Les tenants de cette manifestation parlent des blessés enregistrés dans leur camp. Toutefois, ils annoncent de poursuivre le mouvement ce mardi 12 septembre afin de forcer le Président de la République et son gouvernement à revoir le budget qui n’est pas en faveur des plus pauvres, selon les organisateurs de la manifestation.
A préciser que cette manifestation devrait aboutir devant les ruines du Palais National mais n’a pas pu boucler son parcours.
Source :Zone 509
Journaliste Alceus.Dilson
samedi 9 septembre 2017
La bastonnade est une violation de droit de l'homme en Haiti .
La lutte contre la torture est devenue l'un des thèmes majeurs abordés par la communauté internationale. La torture est aujourd'hui interdite de façon absolue et sans réserve en droit international, en temps de paix comme en temps de guerre. Dans tous les instruments relatifs aux droits de l'homme, l'interdiction de la torture relève du groupe des droits auxquels aucune dérogation n'est possible.
La Cour internationale de Justice a qualifié l'obligation de respecter les droits fondamentaux de l'homme, dont le droit de ne pas être torturé fait indiscutablement partie, d'obligation erga omnes, c'est-à-dire d'obligation dont un Etat est tenu à l'égard de l'ensemble de la communauté des Etats et dont chaque Etat est en droit d'exiger l'exécution. La Commission du droit international, dans son projet d'articles sur la responsabilité des Etats, actuellement coulé en résolution 56/83 de l'Assemblée générale des Nations unies, a qualifié les violations graves de ces droits fondamentaux de l'homme de "crimes internationaux" engageant la responsabilité propre de l'Etat concerné.
Haïti est fait partie au Pacte international relatif aux droits civils et politiques du 16 décembre 1966 de l’Organisation des Nations unies (ONU) et à la Convention américaine des droits de l’homme du 22 novembre 1969 de l’Organisation des États américains (OEA). Ces deux instruments ont été respectivement ratifiés par le Parlement haïtien le 23 novembre 1990 et le18 août 1979. Ils reconnaissent aux personnes suspectées et accusées d’infraction pénale toute une panoplie de droits et de garanties juridictionnelles.
Nous tenons à dénoncer avec toute rigueur le mauvais comportement des policiers envers les présumés en Haiti la violation de l'intégrité physique une atteinte aux droits de l'homme car les policiers ne sont pas pas des juges .
Alceus.Dilson journaliste.
dimanche 3 septembre 2017
les problèmes d'une démocratie impossible en Haiti.
Est-ce qu'en Haiti,les gens sont massivement éduqués et prêts pour une démocratie comme au
Canada,aux États-Unis ou en Europe ?
Réponse:non.
Est-ce qu'on peut imaginer une seconde,qu'au Canada,durant des élections fédérales et provin-
ciales, des ex-présidents américains se tenant debout à côté de Mr Harper ou Jean Charest dans
le but de contrôler leurs propos et surveiller du même coup leurs intérêts à eux ?
Réponse:impossible.
Donc,dans un tel cas,si les réponses aux deux questions précédentes sont négatives,cela signifie
tout simplement que nous,les Haitiens,nous sommes encore des enfants,des mendiants,des idiots et encore très loin pour une démocratie,c'est-à-dire,les candidats aspirant à la magistrature suprême du pays, sont en train de mentir en toute connaissance de cause à un peuple naif et ignorant.
En outre,aussi longtemps que la démocratie demeure les affaires des gens politiquement puissants et riches,la démocratie véritable ne sera possible ni chez nous ni ailleurs.Aussi longtemps que nos écrits seront contrôlés,censurés et que les citoyens ordinaires même des pays riches l'ignorent et prétendent vivre dans une démocratie parce qu'ils ont une auto et un emploi,il n'y aura jamais la paix parce que les pays pauvres dits pays en voie de développement seront
des éternelles victimes des pays capitalistes au nom de la démocratie.
Posons-nous svp la question suivante:de quelle
démocratie s'agit-il donc ?
S'agit-il de la démocratie qu'on impose aux pays pauvres ou de la démocratie dans le respect de la
souveraineté des peuples ou la non-ingérence réciproque ?
À partir du moment même où un citoyen d'un pays est bâillonné dans ses écrits,dans ses propos,bref,sa liberté de parole,la démocratie n'existe plus pour lui.C'est aussi simple que cela.
De plus,pour savoir si la démocratie existe dans unpays,riche ou pauvre,il faut aller à la limite de nos écrits,de nos pensées et ce sont précisément les réactions des classes dirigeantes qui vont nous faire comprendrede gré ou de force ce qui existe et ce qui n'existe pas.
Bref,la démocratie véritable n'est possible que dans le respect des traditions,des coutumes,des principes oudes manières de vivre de chaque peuple et non des démocraties violemment ou hypocritement imposées parce que,la démocratie,par définition,ne connaît aucune domination des uns sur les autres.
Faustin Abraham Lubin
La Corée du Nord a fait trembler le monde par une bombe à hydrogène.
L'essai nucléaire était cinq à six fois plus puissant que le précédent, en septembre 2016...
Ce serait le sixième essai nucléaire de l’histoire du pays. La Corée du Nord a testé dimanche une bombe à hydrogène, un essai qui s’est révélé être une « réussite parfaite », ont rapporté les médias officiels, en ajoutant que l’engin peut être monté sur les missiles à longue portée de Pyongyang. Le « séisme artificiel » était cinq à six fois plus puissant que le test précédent en septembre 2016, ont annoncé les services météorologiques sud-coréens.
>> Repères: Quarante ans de programmes balistique et nucléaire en Corée du Nord
L’institut géologique américain USGS a enregistré à 12h, heure de Pyongyang (5h30, heure française) une secousse tellurique de magnitude 6,3, signalant une possible « explosion » dans une mine en Corée du Nord. La déflagration a été localisée à 24 km au nord-est de la localité de Sungjibaegam, dans la province de Hamgyeong Nord. Elle a été ressentie pendant « environ huit secondes » dans plusieurs localités de la province chinoise du Jilin, a indiqué la télévision d’Etat CCTV.
Un essai nucléaire nord coréen serait « absolument inacceptable », a réagi le Premier ministre japonais, Shinzo Abe, peu après la nouvelle. Tokyo, qui a ensuite confirmé le test de Pyongyang, a adressé une protestation à l’ambassade de Corée du Nord à Pékin, le qualifiant d'« extrêmement impardonnable ». Mardi, le régime de Kim Jong-un avait tiré un missile qui a survolé le territoire nippon avant de s’abîmer en mer.
« Cet événement peu profond ressemble à une explosion »
« C’est une explosion plutôt qu’un séisme », a déclaré à l’AFP Jana Pursely, chercheuse à l’USGS. « Cet événement peu profond ressemble à une explosion ». Le Centre chinois de surveillance sismique a également fait état d’une secousse tellurique de 6,3, provoquée par une « explosion présumée », et localisée à une profondeur « nulle », a annoncé le gouvernement dans un communiqué.
Les précédents essais nucléaires nord-coréens avaient tous entraîné des secousses telluriques détectées par les agences géologiques étrangères.
Dimanche matin, la Corée du Nord avait déjà affirmé avoir développé une bombe à hydrogène pouvant être installée sur son nouvel ICBM, censé placer le territoire américain à portée d'une éventuelle frappe nord-coréenne. Kim Jong-un aurait personnelle inspecté «une bombe thermonucléaire d'une très grande puissance fabriquée par nos efforts et notre technologie», a déclaré KCNA.
Des analystes étrangers ont émis ces derniers mois des doutes sur la capacité de la Corée du Nord à fabriquer une telle bombe et à la miniaturiser suffisamment pour pouvoir l'installer sur un missile.
source: AFP
Journaliste : Alceus.Dilson
Ce serait le sixième essai nucléaire de l’histoire du pays. La Corée du Nord a testé dimanche une bombe à hydrogène, un essai qui s’est révélé être une « réussite parfaite », ont rapporté les médias officiels, en ajoutant que l’engin peut être monté sur les missiles à longue portée de Pyongyang. Le « séisme artificiel » était cinq à six fois plus puissant que le test précédent en septembre 2016, ont annoncé les services météorologiques sud-coréens.
>> Repères: Quarante ans de programmes balistique et nucléaire en Corée du Nord
L’institut géologique américain USGS a enregistré à 12h, heure de Pyongyang (5h30, heure française) une secousse tellurique de magnitude 6,3, signalant une possible « explosion » dans une mine en Corée du Nord. La déflagration a été localisée à 24 km au nord-est de la localité de Sungjibaegam, dans la province de Hamgyeong Nord. Elle a été ressentie pendant « environ huit secondes » dans plusieurs localités de la province chinoise du Jilin, a indiqué la télévision d’Etat CCTV.
Un essai nucléaire nord coréen serait « absolument inacceptable », a réagi le Premier ministre japonais, Shinzo Abe, peu après la nouvelle. Tokyo, qui a ensuite confirmé le test de Pyongyang, a adressé une protestation à l’ambassade de Corée du Nord à Pékin, le qualifiant d'« extrêmement impardonnable ». Mardi, le régime de Kim Jong-un avait tiré un missile qui a survolé le territoire nippon avant de s’abîmer en mer.
« Cet événement peu profond ressemble à une explosion »
« C’est une explosion plutôt qu’un séisme », a déclaré à l’AFP Jana Pursely, chercheuse à l’USGS. « Cet événement peu profond ressemble à une explosion ». Le Centre chinois de surveillance sismique a également fait état d’une secousse tellurique de 6,3, provoquée par une « explosion présumée », et localisée à une profondeur « nulle », a annoncé le gouvernement dans un communiqué.
Les précédents essais nucléaires nord-coréens avaient tous entraîné des secousses telluriques détectées par les agences géologiques étrangères.
Dimanche matin, la Corée du Nord avait déjà affirmé avoir développé une bombe à hydrogène pouvant être installée sur son nouvel ICBM, censé placer le territoire américain à portée d'une éventuelle frappe nord-coréenne. Kim Jong-un aurait personnelle inspecté «une bombe thermonucléaire d'une très grande puissance fabriquée par nos efforts et notre technologie», a déclaré KCNA.
Des analystes étrangers ont émis ces derniers mois des doutes sur la capacité de la Corée du Nord à fabriquer une telle bombe et à la miniaturiser suffisamment pour pouvoir l'installer sur un missile.
source: AFP
Journaliste : Alceus.Dilson
vendredi 1 septembre 2017
La Corée du Nord «aura les moyens de toucher par l'arme nucléaire les Etats-Unis, voire l'Europe»
Une situation « très grave ». Le chef de la diplomatie française Jean-Yves Le Drian a estimé vendredi que la Corée du Nord aurait « dans quelques mois les moyens de toucher par l’arme nucléaire les Etats-Unis, voire l’Europe ».
Faut-il avoir peur de la Corée du Nord ? « Oui, la situation est très grave », a déclaré le ministre sur la radio RTL. « On voit une Corée du Nord qui se fixe comme objectif d’avoir demain des missiles permettant de transporter l’arme nucléaire. Dans quelques mois, cela sera une réalité et à ce moment là, quand elle aura les moyens de toucher par l’arme nucléaire les Etats-unis, voire même l’Europe, et au moins le Japon et la Chine, la situation sera explosive, c’est pourquoi il faut anticiper », a-t-il dit. « Il faut que la Corée du nord retrouve le chemin des négociations », a-t-il insisté.
Escalade dans la crise
Le survol du Japon mardi par un Hwasong-12 nord-coréen de portée intermédiaire a constitué une nouvelle escalade dans la crise sur la péninsule, après deux tirs de missiles intercontinentaux qui semblent mettre une bonne partie du continent américain à portée des armes de Pyongyang.
Si ce lancement a été unanimement condamné par le Conseil de sécurité de l’ONU, les capitales étrangères sont divisées sur la marche à suivre face à la Corée du Nord, et des interrogations subsistent sur le consensus au sein de l’administration américaine face à cette crise. Quant à la Chine, principal soutien de la Corée du Nord, elle est opposée à des nouvelles sanctions réclamées par le Japon et des capitales occidentales.
source: 20 minutes.fr
Alceus.Dilson journaliste
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