Le Fatras devient un oxygène pour les politiciens Haïtiens.
La propreté est l'élément de base de la survivance de tout être humain. Un président qui circule dans une ville d'immondice, n'est pas digne d'être appeler le Premier citoyen de la nation. Un parlementaire qui représentent une circonscription de fatras, n'est pas digne d'être appeler le représentant du peuple. Un Maire qui ne joue pas son rôle en tant qu'Agent de L'état, n'est pas digne pour représenter sa Commune .
Tout développement passe exclusivement dans un environnement saint et vivable, car les conditions de vie d'une population joue un rôle majeur dans son épanouissement, comme peuple. La ville de Port-au-Prince est étranglée par les fatras .Cela est dû par une absence de politique publique et manque de fermeté , les autorités municipales et policières continuent à manquer à l’appel de leur devoir. La situation est révoltante dans le pays. Pas une rue qui traverse la grand ‘rue n’est propre. La ville de Port-au-Prince s’écroule littéralement sous des tonnes d’immondices. Les pneus usagés amoncelés par les dépanneurs/réparateurs de pneus crevés contribuent à enlaidir ce décor.Par des débris ménagés . Même les grandes institutions symboles même de l’État nage sur le fatras.
La situation est tellement grave elle est allée au delà de la compétence d'une mairie. Minimiser cette phénomène démontre clairement comment que les mentalités de nos Politiciens sont infectées. Port-au-Prince présente le visage d’une ville en lambeaux, abandonnée par les autorités des différents pouvoirs publics. Au point qu'une grande partie de la population ne veut plus y habiter. Port-au-Prince a non seulement perdu de son lustre, mais aussi son centre commercial.
La rue de Port-au-Prince devient irrespirable. Pour faire face à cette situation l'adoption d'une politique de promotion de l’aménagement du territoire dans les politiques publiques nationales et communautaire dans le pays pouvant redéfinir la ville de Port-au-Prince. Une nouvelle pédagogie
au niveau de notre éducation comme peuple. Nôtre environnement est le reflet de notre mentalité .
Alceus Dilson Journaliste.
Haïti Monde Info
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