mercredi 31 mai 2017

 Voilà ce que va faire le responsable du dossier TPS en Haïti CREATED : 31 MAY 2017 CARIBBEAN NEWS Le Secrétaire d'Etat à la Sécurité intérieure des Etats-Unis, John Kelly (Photo: nbcdfw) Une semaine après avoir accordé un mince sursis aux plus de 50 000 haïtiens détenteurs du TPS aux USA, le secrétaire du Département de la Sécurité Intérieure des États-Unis rendra une courte visite à Haïti ce mercredi 31. Le secrétaire du Département de la Sécurité Intérieure des États-Unis, John Kelly, devrait atterrir dans l’après-midi ce mercredi. Selon des informations révélées au Miami Herald, sa visite en Haïti ne durera que quatre heures durant lesquelles, en substance, il rencontrera le président Jovenel Moise, quelques personnalités du gouvernement et la responsable de la MINUSTAH, Sandra Honoré. Pour la représentante de Floride à la Chambre des représentants, Frederica Wilson, « c’est horrible ». Le 22 mai, elle a invité John Kelly à l’accompagner en Haïti pour « analyser les conditions sur le terrain afin qu’il puisse faire une évaluation de la capacité d'Haïti à absorber les déportés ». Au Miami Herald, elle lâche sans concession : « [Cette visite] détruit le but ». Dans le communiqué de la visite parvenu à la rédaction de LoopHaiti, on apprend que John Kelly devra discuter de la coopération internationale, des questions liées au rapatriement, ainsi que des efforts pour construire la loi maritime d'Haïti et la capacité d'application de la loi. Le général qui a participé à l’invasion de l'Irak en 2003 s’attèlera aussi à encourager la coopération entre la République dominicaine et l'unité de sécurité frontalière d’Haïti. Par ailleurs, le DHS que dirige John Kelly vient d’accorder un sursis doublé d’une sommation de se préparer à la déportation aux dizaines de milliers d’haïtiens bénéficiant du TPS, un statut de protection temporaire pour les immigrants ressortissant de pays en crise et/ou dangereux. Depuis septembre 2016, plus de 4,000 haïtiens auraient été déportés des Etats-Unis. Dans une correspondance datée du 30 mai, 38 organisations humanitaires disent qu’elles accueilleraient « l’opportunité » d’obtenir audience auprès de John Kelly pour « discuter les difficultés auxquels fait face Haïti ». Elles enjoignent le secrétaire du Département de la Sécurité Intérieure de visiter durant son bref séjour, entre autres, Canaan, « qui a démarré comme un camp pour les déplacés internes, qui n’ont nulle part ou vivre après le tremblement de terre de 2010 ». Et aussi la Grand’Anse, ravagé par le cyclone Matthew.
Accord sur le climat: Donald Trump va faire une annonce "dans les prochains jours" 31/05/2017 à 14h09  Sujet au coeur des discussions du dernier G7, les dirigeants mondiaux n'avaient pas réussi à trouver un accord avec le chef de l'Etat américain. Donald Trump enterre l'Accord de Paris sur le climat. Promesse de campagne, le président américain a décidé de faire sortir les Etats-Unis de l'accord sur le climat signé en décembre 2015 au terme de la COP21, selon le site d'information Axios qui cite deux sources non identifiées. A la suite de ces révélations de presse, le président américain a indiqué qu'il ferait une annonce dans les jours à venir.  Les détails de ce retrait restent toutefois à déterminer: un retrait pur et simple au terme d'une procédure qui dure trois ans ou une sortie de la Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques qui date de 1992 à laquelle tous les accords internationaux sur le climat signés depuis. Cela reviendrait à rendre caducs tous les accords climat pour lesquels se sont engagés les Etats-Unis.  Sélectionné pour vous "Covfefe": le tweet incompréhensible de Trump que les internautes essaient de déchiffrer "Six contre un" Signé en décembre 2015 par 174 pays et l'Union européenne, l'Accord de Paris, symbole du succès de la COP21, est entré en vigueur le 4 novembre dernier et a été ratifié par les Etats-Unis en septembre dernier. Avancée majeure de l'ère Obama, l'accord prévoit notamment de contenir le réchauffement climatique en dessous des deux degrés par rapport aux niveaux préindustriels ou le désinvestissement des énergies fossiles, là où le président américain a promis des emplois. Ce retrait de Donald Trump était une promesse de campagne, avant de dire qu'il n'excluait d'y rester si de meilleures conditions étaient accordées aux Américains. Lors du G7 en Sicile qui s'est tenu ce week-end, des discussions se sont tenus entre les chefs d'Etat et le président américain sans que celles-ci aboutissent. La chancelière allemande, Angela Merkel, avait alors parlé d'une situation de "six contre un". "Il veut céder au lobby de l'énergie, au lobby du charbon, analyse Jean-Bernard Cadier, correspondant BFMTV à Washington. Ces dernières heures, plusieurs sénateurs très importants lui ont écrit en le suppliant de tenir sa promesse. Son raisonnement est qu'il n'y a pas de vrais problèmes d'environnement."
 Home / NEWS / Society / Selon un Expert de l’ONU: «Haïti serait mieux sans l’aide internationale»   Selon un Expert de l’ONU: «Haïti serait mieux sans l’aide internationale» Mécène LOUIS-JAMÉ May 30, 2017 Society Nouvelle salve de critique contre l’assistance étrangère à Haïti. Pour avoir été représentant spécial adjoint du Secrétaire général des Nations Unies, coordonnateur résident et humanitaire des Nations Unies et représentant du PNUD en Haïti de 2006 à 2009, Joel Boutroue parle en connaissance de cause. Dans cette entrevue publiée sur le blog de réflexion sur le développement ID4D et que nous reprenons, le conseiller spécial du Premier ministre haïtien (2009-2011) puis celui de conseiller spécial de la Norvège jusqu’en 2016 est catégorique : « Haïti serait mieux sans l’aide internationale ».  Haïti fait partie des pays les plus fragiles du monde. Sept ans après le tremblement de terre de 2010, quels sont les enjeux auxquels le pays fait face ? Haïti reste un pays en voie d’explosion. Au-delà de la gouvernance qui est le problème central, il y a un problème sur le front agricole. Haïti est un pays très agricole, mais il n’y a aucun investissement fait aujourd’hui dans ce secteur, aucune mise en place de pratiques soutenables et les instruments agraires n’ont pas évolué depuis la révolution haïtienne. Il faut investir dans l’agriculture, et la première étape c’est de faire le cadastre des terres. Aujourd’hui, on se base encore sur des livres de l’époque coloniale, comme les relevés de cadastres de Moreau de Saint Mery datant de 1794. Le deuxième grand enjeu du pays est celui de l’éducation. Elle s’est détériorée à vitesse grande V ces dernières décennies. Alors que jusque dans les années 1960, les Haïtiens s’exportaient à l’étranger pour leurs connaissances, aujourd’hui le niveau est catastrophique.  Enfin, le troisième est celui de l’eau et de l’assainissement. Haïti est une poubelle ouverte, qu’il faut traiter. Ce défi vient en amont de celui de la santé, car la population s’empoisonne. Il n’y a pas un égout, pas une station d’assainissement dans tout le pays. Ce problème est énorme est va le devenir encore plus avec la croissance démographique, puisqu’Haïti va passer de 11 millions d’habitants à environ 18 millions dans 40 ans. C’est d’ailleurs le dernier enjeu, celui de la démographie et de la planification urbaine. Port au Prince était prévu pour 200 000 habitants, ils sont maintenant 3 millions. Haïti reçoit sans discontinue l’aide des bailleurs internationaux, notamment depuis le tremblement de terre de 2010 . Comment cette aide est elle utilisée ? Les bailleurs de fonds sont souvent pris entre deux feux. D’un côté, il y a le besoin de rendre des comptes sur des résultats tangibles aux citoyens des pays d’origine. Et de montrer que l’argent a servi à quelque chose. De l’autre côté, il y a la capacité d’absorption du pays bénéficiaire. Et cela n’avance pas au même rythme. Pourtant, beaucoup de bailleurs de fonds, parfois par cynisme ou par paresse, font dans le court terme. À Haïti, où les problèmes de déforestations sont importants, une partie de la population coupe moins de bois, car on a réussi à les intéresser aux arbres fruitiers, par exemple en apprenant à un agriculteur à faire du greffage de manguier pour valoriser un arbre fruitier et donc à ne pas le couper. Mais cela prend du temps.  Après le tremblement de terre en 2010, il y avait environ 15 000 millions de mètres cubes de débris à évacuer. En fait, très peu a été fait et cela a pris de mois avant que le déblayage ne commence, car personne ne voulait financer cette opération. Ce n’était pas sexy pour les bailleurs, et le résultat n’est pas assez visible. Cela affecte-t-il les relations avec les États fragiles ? Face à cette obligation de recevabilité dans un temps restreint, les bailleurs prennent rapidement des libertés vis-à-vis d’un État, surtout quand il ne réagit pas. On décrit souvent Haïti comme la République d’ONG, ce n’est pas entièrement faux. Les ONG financées par les donateurs internationaux rendent parfois très peu de comptes à l’État haïtien. Mais en faisant ça, on marginalise l’État et on le met en situation de faiblesse vis-à-vis de sa population. Et l’on crée ainsi de nouveaux problèmes. L’aide en Haïti n’est pas un partenariat, ce n’est pas une relation d’égal à égal. Pourquoi un État fragile tel qu’Haïti ne parvient-il pas à imposer ses propres priorités de développement ? Ce n’est pas parce qu’un État a signé une stratégie de développement que les priorités des bailleurs et les siennes sont les mêmes. Le problème de l’État haïtien c’est celui de tout État fragile qui n’a pas forcément les moyens ni la capacité d’avoir des priorités. C’est justement lorsqu’on intervient dans un État fragile que les bailleurs doivent aider à clarifier les priorités et à s’y tenir au lieu d’accuser l’État de ne pas en avoir. Mais dans cette situation, on a tendance à imposer des choix parce que la route du renforcement de la gouvernance du pays est plus longue et plus compliquée. Pourtant, toutes les initiatives de développement sont vaines sans renforcement de la gouvernance, c’est-à-dire la capacité d’un État à produire et mettre en œuvre des politiques. L’aide internationale a-t-elle permis au pays de se développer concrètement depuis le tremblement de terre de 2010 ? Haïti serait mieux sans aide, en tout cas sans la mauvaise aide, car elle permet à l’administration et les élites haïtiennes de continuer sans changer. À ce titre, il faudrait mieux créer des conditions qui poussent au changement. Si l’on est sur place, il faut l’être de manière intelligente, même si cela est moins visible en termes de valeur. Je ne dis pas que toute l’aide est mauvaise. On devrait par exemple pouvoir se servir de la présence internationale pour mettre la pression sur l’État qui est corrompu. Au lieu de financer la construction de routes, ce qui coûte très cher en Haïti, il faut s’assurer qu’il y ait des lois pour entretenir les routes construites grâce à l’aide internationale. Cela est plus important que de construire la route en elle-même. Après le tremblement de terre, il y a eu 5 milliards de dollars d’engagés par la communauté internationale, dont une grande partie n’arrive en fait jamais sur le terrain, car elle couvre les frais de fonctionnement. Sur l’argent qui arrive, l’État haïtien a peut-être reçu 10% en soutien budgétaire pour ses programmes. La plus grande partie est partie via les ONG internationales et même pas 1% aux ONG locales, enfin le reste est dépensé sur des programmes humanitaires. La coopération internationale en Haïti est donc un échec ? En majeure partie, c’est un échec, mais pas seulement en Haïti. Dans les pays fragiles, les agences de développement vont souvent travailler avec l’administration publique, qui est une coquille vide, et avec les élites qui sont responsables de la situation telle qu’elle est. On ne fait que renforcer un statu quo. Le rapport 2017 sur la gouvernance et la loi de la Banque mondiale le souligne : les pays qui reçoivent de l’aide font moins d’efforts pour changer leurs gouvernances

mardi 30 mai 2017

nt organisé, mardi matin, une manifestation devant le siège de leur entreprise, à Alger. Ils réclament la démission du PDG de Naftal, Hocine Rizou. La raison ? Une vidéo sexuelle compromettante. Le responsable d’une des plus grandes entreprises publiques y apparaîtrait en effet dans des situations « honteuses » en plein ébats sexuels avec …. un homme. La direction de Naftal a déposé plainte pour « atteinte à vie privée ». Selon des syndicalistes, ce n’est pas la tendance homosexuelle du PDG qui pose tant problème. Mais il paraît que cette posture aurait poussé le responsable à contracter des accords et à effectuer des recrutements douteux. Le PDG, nommé en mai 2015, a refusé de céder estimant que la question est purement « privée ». Une attitude partagée par le syndicat d’entreprise de Naftal qui indique que l’affaire n’a rien à avoir avec l’entreprise. Malheureusement, cette affaire peut aller très loin dans les jours àvenir. Une paralysie de Naftal peut plonger le pays dans une vraie crise puisque la société est le seul fournisseur du pays en carburants. Haiti Monde Info Saïd Sadia
iciHaïti - Politique : Moïse reçoit la Congressiste haitiano-américaine, Ludmya Bourdeau Love 30/05/2017 09:14:49
  Lundi au Palais National, le Président Jovenel Moïse, a reçu la visite de la Congressiste haitiano-américaine, Ludmya Bourdeau Love alias « Mia Love », à la tête d’une délégation composée de membres de la diaspora haïtienne. Cette rencontre avec l’élue Républicaine de l’Utah, s’inscrit dans l'intensification et la dynamisation des relations d'Haïti avec sa diaspora. Membre du Parti républicain, Ludmya Bourdeau est la première femme noire élue à la Chambre des Représentants des États-Unis, en poste depuis 2015. IH/ iciHaïti / HMI Haiti Monde Info Haiti Monde Info
. Haiti Monde Info  Actualité International Trump accuse l'Allemagne d'être "très mauvaise pour les États-Unis" Le président américain s'est fendu d'un tweet saignant ce lundi à l'égard de l'Allemagne, à la suite des critiques de Merkel à son encontre après le G7. SOURCE AFP Publié le 30/05/2017 à 14:24 | Le Point.fr Angela Merkel et Donald Trump côte à côte le 27 mai, à l'occasion du G7 de Taormine, en Italie. © DPA / dpa Picture-Alliance/AFP/ MICHAEL KAPPELER ABONNEZ-VOUS Le président américain Donald Trump a accusé l'Allemagne d'être "très mauvaise pour les États-Unis" sur le plan des relations commerciales et militaires dans un tweet matinal mardi, après les critiques de Berlin sur le partenariat amoindri entre l'Europe et les États-Unis. "Nous avons un ÉNORME déficit commercial avec l'Allemagne, en plus elle paye BIEN MOINS qu'elle ne le devrait pour l'Otan et le secteur militaire. Très mauvais pour les USA. Ça va changer", a tweeté Donald Trump, rentré ce week-end à Washington après une première tournée à l'étranger qui l'a notamment mené en Europe.  Pour l'Allemagne, Trump a "affaibli" l'Occident Pratiquement en même temps à Berlin, la chancelière allemande Angela Merkel a jugé "extrêmement important" que l'Europe devienne un "acteur qui s'engage à l'international" notamment en raison de l'évolution des États-Unis sous Donald Trump. Dimanche, elle avait jugé à la suite d'un G7 très difficile que les Européens ne pouvaient plus totalement compter sur les États-Unis de Donald Trump. Son ministre des Affaires étrangères Sigmar Gabriel était allé plus loin lundi, estimant que les actions du président américain avaient "affaibli" l'Occident et accusant sa politique d'être contraire "aux intérêts de l'Union européenne". Donald Trump est rentré à Washington samedi après son premier voyage international qui l'a notamment mené en Arabie saoudite et en Israël, puis en Belgique pour un sommet de l'Otan et en Italie pour un G7. Reportages, analyses, enquêtes, débats. Accédez à l’intégralité des contenus du Point >>  INSCRIVEZ-VOUS À NOTRE NEWSLETTER L’ESSENTIEL ! Recevez le meilleur du Point à l’heure de votre choix. Édition matinale Édition de la mi-journée Édition du soir (Nouveau)  9 COMMENTAIRES Ce service est réservé aux abonnés. Déjà abonné ? Connectez-vous Abonnez-vous Par Flo-P le 30/05/2017 à 22:05 À voir S'il est difficile de reprocher à L'Allemagne ses excédents commerciaux qu'elle ne doit qu'à ses investissements et ses réformes, Trump n'a en revanche pas tord sur les questions militaires. Il est grand temps que l'Allemagne assume son rang et cesse de se reposer sur ses alliés pour sa défense. Si ces affrontements peuvent nous aider à construire une Europe plus ambitieuse et plus efficace pour compenser le désengagement américain, alors tant mieux. SIGNALER UN CONTENU ABUSIF Par Jerry lee lewis le 30/05/2017 à 19:22 Plus Toujours amusants tous ces mots français qui s'intercalent dans l'Anglais US SIGNALER UN CONTENU ABUSIF Par ducadimonte le 30/05/2017 à 19:01 Donald Tweemp Les allemands bénéficient d'une politique de sacrifices menée il y a de nombreuses années. Ils ont transformé leur économie de façon radicale, et continuent à vendre de la qualité, d'où les excédents commerciaux. Les américains veulent consommer, soit. Aller blâmer les pays vertueux permet de détourner le regard du monde de ses propres faiblesses. Pitoyable. Comme ce président inculte et non dégrossi. SIGNALER UN CONTENU ABUSIF Par puzzle le 30/05/2017 à 18:46 Que dire... Que dire, si, l'Allemagne a perdu la dernière guerre mondiale, les Etats-Unis et ses Alliés, ont rayé d'un trait de plume les dommages de guerre dus par le vaincu, ce que la Grèce a reproché il y a quelques temps, face à intransigeance financière de l'Allemagne. Puis, ce pays et d'autres pays européens ont profité du plan Marshall pour des raisons servant aussi alors les intérêts Américains, face au bloc Soviétique. L'Allemagne a gagné la Guerre économique, car elle a su faire avec intelligence et persévérance le redressement du pays avec un peuple qui est plus nationaliste qu'il n'y paraît, tout en profitant des circonstances évoquées ci-dessus. Attention, nos "Amis" Américains, ne sont pas, si j'ose dire tout "blanc" dans cette Histoire, ils ont toujours fait passer leurs intérêts de par Le Monde avant toutes autres considérations, en usant et abusant, tout comme nos "Amis" Chinois, de normes protectionnistes. Mais c'est bien connu "En affaire, il n'y a pas d'Amis". SIGNALER UN CONTENU ABUSIF Par Tchaotchao le 30/05/2017 à 17:01 Il y a un peu de vérité Pour avoir écouté un débat géopolitique l'Allemagne se veut dominante et exige beaucoup des autres européens et quand au financement des actions françaises hors Europe elle participe peu, car les engagements de la France sont nombreux pour la sécurité de l'Europe quand à sa participation d'aide aux migrants les italiens attendent. SIGNALER UN CONTENU ABUSIF Par sergio46 le 30/05/2017 à 16:32 Trump aurait dû lire Talleyrand, s'il savait lire ! Il aurait ainsi appris que "Tout ce qui est excessif est insignifiant", un peu comme sa propre pensée, si dérisoire qu'elle peut être condensée en 140 caractères seulement ! SIGNALER UN CONTENU ABUSIF Par backfire07 le 30/05/2017 à 16:11 Trump a raison Angela veut le beurre et l'argent du beurre. La défense de l'Allemagne est assurée par les USA depuis 1945. Il est temps qu'elle s'occupe de sa défense en mettant la main à la poche. Sinon, elle va gagner le cocotier : Trump est capable de retirer ses troupes d'Allemagne. SIGNALER UN CONTENU ABUSIF Par MIRA.B le 30/05/2017 à 15:50 MERKEL EST DÉMASQUÉE PAR TRUMP. OUF. ENFIN UNE VOIX QUI COMPTE ! MERKEL EST LA GÉRANTE DE L'UNION EUROPÉENNE. Elle est dans la droite ligne de la politique HILLARY CLINTON, (que nous avons failli récolter. ) C'est MADAME VA T-EN GUERRE AVEC SON PETIT VALET MACRON... L'espoir est né le jour de l'élection de Trump. Il ne se démentira plus. Regardez bien la suite des évènements. SIGNALER UN CONTENU ABUSIF Haiti Monde Info Par guy bernard le 30/05/2017 à 14:29 Ping-pong. L'Allemagne et les États-Unis futurs finalistes du championnat du monde de ping-pong ? Haiti Monde Info ils me fatiguent.

lundi 29 mai 2017

Actualités Société (Video) Rép. Dom/Corruption : Arrestation tôt lundi matin, du ministre dominicain de l’Industrie pour corruption 29 mai 2017 cba 4 Commentaires Entre autres du ministre de l’Industrie et du Commerce, figurent des personnages de la classe politique dominicaine. Leur crime reproché est les « $92 millions de pots-de-vin » qu’ils auraient perçus de la firme de construction brésilienne Odebrecht. L’histoire remonterait à 2014 Santo Domingo, lundi 29 mai 2017 ((Haiti Monde Info)).-Admettre ou claironner à longueur de journée que la justice est neutre, indépendante et comparable à une femme aux yeux bandés est une chose, mais le prouver dans les faits et ou dans l’accomplissement des actes posés, en est une autre. Le peuple dominicain a parlé, dénoncé, manifesté et Danilo Medina a écouté et cédé.  Tôt lundi matin 29 mai 2017, le bureau de la Procureure Générale (Commissaire du Gouvernement), a annoncé l’arrestation et l’incarcération de plusieurs personnes dont les noms seraient mêlés au scandale de $92 millions de pots-de-vin reçus de Odebrecht, rapporte dans son édition de lundi matin, le quotidien Listin Diario.  Parmi les personnes arrêtées figurent des proches du pouvoir dont Themistocles Montas, l’actuel Ministre de l’Industrie et du Commerce; Radhames Segura, César Sánches, Gonzalez Ruddy; le président du Parti Révolutionnaire Moderne (PRM) Andres Bautista; l’ex-ministre des Travaux Publics, Victor Diaz Rúa et les Entrepreneurs Ángel Rondón et maximo de Oleo. Le ministre de la Justice a fait choix de Francisco Ortega, un juge de l’instruction de la Cour suprême, pour se saisir de ce dossier à scandale en République Dominicaine, avec un ministre en fonction, qui est allé tôt lundi matin, séjourné en prison. Ces détenus sont accusés de corruption passive en percevant, en retour, une valeur de $92 millions versés par Odebrecht entre 2001 et 2014, dans le but de remporter presque tous les contrats passés entre l’Etat et les firmes de construction privées. Lecteur vidéo Haiti Monde Info Willy jean louis
Réunion avec des présidents des associations de maires Port-au-Prince, le lundi 29 mai 2017.- Le Premier ministre, M. Jack Guy Lafontant, a réuni cet après-midi les présidents des associations des maires de l’Ouest, du Sud, du Sud-Est, de la Grand’Anse, des Nippes, du Centre, de l’Artibonite, du Nord et de Nord-Ouest, en prélude à la rencontre, le mardi 30 mai, avec le Conseil national de gestion des risques et désastres. Cette réunion a permis notamment aux présidents des associations des maires du Sud, des Nippes et de la Grand’Anse d’exposer la situation de leurs régions frappées par l’ouragan Matthew. Ils ont soulevé de nombreux problèmes auxquels font face leurs municipalités, tels que les équipements pour les travaux d’assainissement. Le Premier ministre a fait part de la volonté du gouvernement de continuer d’apporter des réponses appropriées aux problèmes de ces départements. Il en a également profité pour rappeler son engagement de poursuivre les actions déjà en cours. De nombreuses pistes de solution ont été évoquées à cette réunion, au cours de laquelle le Premier ministre a promis d’établir un dialogue permanent entre la Primature et les mairies du pays. Haiti Monde Info Willy jean louis
L'étonnante performance d'Emmanuel Macron face à Vladimir Poutine Haiti Monde Info A Versailles, le président français a tendu la main à son homologue russe et lui a dit ses quatre vérités à la face du monde... En même temps. Par Vincent Jauvert "Macronmania" diront certains. Mais comment ne pas s’avouer bluffé par la performance d’Emmanuel Macron face à Vladimir Poutine, ce lundi lors de la conférence de presse commune à Versailles ? Le président français a tendu la main à son homologue russe et, dans le même temps, lui a asséné ses quatre vérités à la face du monde, comme peu avait osé auparavant. Emmanuel 1er et Vladimir le Grand à Versailles : un parfum "gaullo-mitterrandien" Le "Dialogue de Trianon" La main tendue, Emmanuel Macron a annoncé le lancement d’un forum des sociétés civiles qui devrait permettre aux étudiants, aux chercheurs, aux intellectuels des deux pays d’échanger et de voyager plus fréquemment. Il souhaite appeler cette nouvelle instance le "Dialogue de Trianon". L’idée, bienvenue, pourrait permettre de redonner corps à l’amitié entre les deux peuples, à condition toutefois qu’elle ne soit pas dévoyée comme "le dialogue franco-russe", lancé au début des années 2000 à l’initiative du président Chirac, qui n’est plus aujourd’hui qu’une officine de propagande pro-Kremlin. Pourquoi Emmanuel Macron tend la main à Vladimir Poutine "Organes de propagande mensongère" Les quatre vérités, le jeune président français les a dites avec calme et fermeté. A propos des deux médias officiels à destination de l’étranger, qui, pendant la campagne présidentielle française, n’ont eu de cesse de propager des rumeurs nauséabondes contre le candidat d’En Marche !, Emmanuel Macron a été particulièrement cinglant. En présence du chef du Kremlin, dont le visage était plus que jamais fermé, il a martelé : "Russia Today et Sputnik ne sont pas des organes de presse mais d’influence et de propagande mensongère." Russia Today, Sputnik : l'offensive des médias russes en France Le nouveau chef de l'Etat a aussi évoqué le sort des personnes "LGBT" maltraitées en Tchétchénie. Et il a redit que, lors de leur premier échange téléphonique, il avait évoqué avec Vladimir Poutine les cyberattaques attribuées aux services secrets russes contre son équipe de campagne. Contraint de se justifier, le chef du Kremlin a grogné que tout ceci n’était que des inventions de journalistes, sans convaincre. Un nouveau test Maître de lui face à un président russe visiblement mal à l’aise, Emmanuel Macron a donc trouvé le ton juste pour tenter de relancer, dans l’honneur, les relations entre l’Elysée et le Kremlin. Mais il y a fort à parier qu’avant d’entrer vraiment dans des négociations sur tous les sujets qui fâchent, de la Syrie à l’Ukraine, Vladimir Poutine aura à cœur de tester une nouvelle fois le jeune président. En terre russe, cette fois. Haiti Monde Info
Haïti - Politique : Formation à l’intention des aspirants gardiens de prison 28/05/2017 10:46:04 Haiti Monde Info   Renforcer les capacités des aspirants gardiens de prison de la Direction de l’Administration Pénitentiaire (DAP) par une formation continue ciblée notamment sur les droits humains, est l’une des missions que s’est donné l’Office de la Protection du Citoyen (OPC). Une centaine d’aspirants gardiens de prison de la 27ème promotion de la Police Nationale d’Haïti (PNH) de la DAP, ont participé à une formation qui visait à leur permettre d’acquérir une meilleure connaissance du rôle et de la mission de l'OPC ; à maitriser les notions fondamentales de droits humains notamment les principes et les valeurs ; à connaitre les différents systèmes de protection de droits humains incluant la Constitution, la Législation Pénale et les Règlements Internes des l’établissements Pénitentiaires et au niveau international, la Charte des Droits de l'Homme, la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme (DUDH), les deux pactes de 1966 : le Pacte International relatif aux Droits Civils et Politiques et le Pacte International relatif aux Droits Economiques, Sociaux et culturels ; les voies de recours disponibles en Haïti et le respect des normes juridiques relatives aux droits humains, plus spécifiquement celles ayant trait à la protection des droits des détenus. Les différents modules ont été suivis d’échanges entre les participants et les animateurs. Les participants se sont également penchés sur les règles minimales de protection des détenus et la Convention contre la torture en tant que norme spécifique. Haiti Monde Info Willy jean louis

samedi 27 mai 2017

Monde: Plusieurs législateurs américains
insatisfaits de la prorogation du TPS pour seulement 6 mois ByAnmwe NewsPosted on May 27, 2017 COMMENTS WASHINGTON DC – Plusieurs législateurs américains sont insatisfaits de la prorogation pour seulement 6 mois du Temporary Protected Status pour les migrants haïtiens. Pour la Congressiste Yvette D. Clarke il s’agit d’une extension inadéquate de ce Programme. « Je suis profondément déçu par le refus du Department of Homeland Security (DHS) de fournir une extension complète de 18 mois de ‘Temporary Protected Status (TPS)’ pour les ressortissants haïtiens vivant aux États-Unis. Une coalition bipartite au Congrès, ainsi que des militants des droits de l’homme et des membres éminents de la communauté internationale, s’était réunie pour soutenir une extension complète, précise t-elle dans un communiqué. Elle estime que le TPS constitue une assistance précieuse pour Haïti. La situation en Haïti demeure précaire. Le rétablissement du pays, suite au séisme en 2010 a été gravement gênée par une épidémie de choléra et les destructions massives de l’ouragan Matthew, en octobre 2016, le plus dévastateur à avoir atteint Haïti en un demi-siècle. Le TPS fourni un soutien précieux pour le rétablissement, permettant aux ressortissants haïtiens d’ici, d’envoyer des fonds à leurs proches en Haïti. Ces envois de fonds sont essentiels à la reprise et à l’ensemble du budget du Gouvernement d’Haïti. En outre, obliger près de 60,000 personnes à retourner en Haïti imposerait un énorme fardeau aux maigres services sociaux et infrastructures disponibles localement, insiste la congressiste. Elle se dit préoccupé par les récentes caractérisations inexactes, injustifiées et sans fondement des ressortissants haïtiens par l’administration Trump. Cette décision a été fondée sur des facteurs autres que les conditions en Haïti, le seul facteur qui aurait dû être considéré légalement, dit-elle invitant le Departement de Homeland Security à réexaminer cette décision peu judicieuse et à collaborer avec le gouvernement d’Haïti pour élaborer un plan qui contribuera de manière significative à la reprise. » C’est également l’avis de la Congressiste Frederica S. Wilson. Elle juge que les responsables du Department of Homeland Security ne seront pas en mesure de juger de façon juste et précise la nécessité de continuer le TPS pour Haïti, à moins qu’ils ne se joignent au Congres pour une mission d’évaluation. Je suis convaincue qu’une mission d’enquête les convaincra des mérites du programme et du besoin désespéré de le poursuivre, a t- elle ajouté. Mme Wilson considère la prorogation de 6 mois comme un soulagement estimant qu’il s’agit d’un verre à moitié vide. La réalité, c’est que dans six mois, Haïti ne sera toujours pas en mesure d’absorber et d’aider 58,000 personnes sans emploi. Il se rétablira encore du séisme de 2010 et de l’épidémie de choléra et se battra toujours pour reconstruire les dégâts considérables sur ses infrastructures après le passage de l’ouragan Matthew qui a frappé Haïti en octobre dernier, explique t-elle. Haiti Monde Info
. Haiti Monde Info Actualités Société L`ex sénateur Turneb Delpé est mort à New York 27 mai 2017 aladanel Aucun commentaire Samedi 27 mai 2017 ((rezonodwes.com)– L`ancien sénateur Turneb Delpé connu comme le promoteur de la « Réconciliation Naitonale », un concept qui n`a jamais pu être mis sur les rails en Haiti, est décédé cet après-midi dans un hôpital à New York des suites d`un cancer.  Cette information a été relayée par la présentatrice du « Jounal 4 trè » de radio Kiskeya, Liliane Pierre Paul qui l`a annoncée avec une voix pleine d`émotion et de tristesse. Le docteur Turneb Delpé s`est fait connaitre au sein du Parti Communiste Haïtien (PCH) en militant contre les exactions du régime des Duvalier avec Gasner Raymond et Jean-Paul Duperval, ses amis d’enfance, puis, en exil aux États-Unis, a intégré le PNDPH (ancien MNDPH), fondé par Lyonel Lainé qui avait projeté une invasion armée à partir de Port-de-Paix. « J’ai subi 43 interrogatoires par le chef de la police, les ministres d’État, de l’Intérieur et de la Défense nationale, par le chef de la sécurité du Palais national, les membres de la commission d’enquête nationale (personnel militaire) », a-t-il déclaré Emprisonné dans les geôles macoutes, puis libéré, Turneb Delpé (MOPOD) a été de toutes les luttes pour permettre au peuple haitien de vivre la démocratie et de connaitre un mieux être.  Même si Delpé est mort, ses rêves ne pourront pas disparaître, car la soif de voir les fils d`Haiti se réunir dans un élan patriotique pour rebâtir la nation finira par vaincre les réticences des uns et l`incompréhension des autres. Haiti Monde Info
 Haïti - FLASH : Examens d’État, plusieurs milliers de candidats non validés 27/05/2017 08:35:14   Méniol Jeune, le Directeur Général du Ministère de l’Éducation, Renan Michel, le Directeur du Bureau National des Examens d’État (BUNEXE), Maxime Mesilas, le Directeur de l'enseignement secondaire et Nadine Henry, la Drectrice de l'enseignement fondamental, ont fait le point sur l'état d'avancement des préparatifs pour la tenue des Examens d’État débutant le 3 juillet prochain avec les épreuves de la 9ème année fondamentale et des Examens des Écoles Normales d'Instituteurs (ENI). La validation des candidats aux examens d'État a été au centre de cette conférence de presse. Renan Michel a annoncé que plusieurs milliers de candidats non validés, ne pourront pas prendre part à ces épreuves expliquant qu’il s’agit de candidats qui n'ont pas réussi les épreuves de 9ème année fondamentale 4 ans auparavant et de cas de candidats recalé qui s'inscrivant dans deux écoles à la fois... Le Directeur du BUNEXE dénonce cette pratique dans certaines écoles qui ne respectent pas les règlements et les procédures légales en matière d'inscription aux examens d'État et de passage en classe supérieure. Le Directeur Général Jeune se veut très ferme sur ces fraudes et annonce que des sanctions seront appliquées contre ceux qui affectent la bonne marche du système et salissent l'image de l'école haïtienne. Insistant sur l'importance et les enjeux des examens d'État, il informe que toutes les dispositions sont prises pour garantir le bon déroulement des épreuves, il demande la contribution de toute la communauté éducative et de la population pour la bonne passation des épreuves officielles. Calendrier des examens d'État : - Examens de 9 ème année fondamentale : du 3 au 5 juillet ; - Examens des Écoles Normales d'Instituteurs (ENI) et des Centres d'Éducation Familiale (CEF) : du 3 au 7 juillet ; - Examens du bac : du 10 au 13 juillet ; - 2ème Session spéciale des recalés : du 21 au 24 août ; - Examens de Formation Technique et Professionnelle (FTP) : 31 juillet au 5 août. Pour la session des recalés en août, l'inscription des candidats se fera au cours de la période allant du 5 au 20 juin. Notons qu'à partir de cette année, les nouveaux candidats, sont totalement séparés des recalés en raison notamment des problèmes de logistique en vue d'identifier les centres d'examens répondant aux normes. Enfin, Maxime Mesilas et Nadine Henry, ont apporté des précisions sur le processus de montage des textes d'examens et le support qui sera fourni aux candidats en vue de les aider à mieux préparer leurs examens. Ces matériaux sont disponibles au local de l'enseignement secondaire et de l'enseignement fondamental à Nazon et sur le site du Ministère www.menfp.gouv.ht/mobile/ Haiti Monde Info
10 citations mémorables de Mark Zuckerberg à Harvard Haiti Monde Info LOOP NEWS CREATED : 26 MAY 2017 TECHNOLOGIE Le PDG de Facebook et le décrocheur de Harvard Mark Zuckerberg délivre l'adresse de départ aux exercices de début de l'Université Harvard, le jeudi 25 mai 2017, à Cambridge, Massachusetts (AP Photo / Steven Senne) Le PDG de Facebook Mark Zuckerberg est retourné à Harvard avec un message sur l'inégalité entre les combats et les risques au nom de l'innovation. Zuckerberg, qui, comme les diplômés, est un millénaire, a créé Facebook dans son dortoir de Harvard en 2004. Il a abandonné l'année suivante et est revenu jeudi pour recevoir un diplôme d'honneur. Voici 10 extraits de son discours d'ouverture: 1. « Faisons-en face, vous avez accompli quelque chose que je ne pouvais pas. Si je termine ce discours aujourd'hui, ce sera la première fois que je terminerai quelque chose ici à Harvard ». 2. « Ma meilleure mémoire de Harvard, c’est ma rencontre avec Priscilla. Je venais de lancer le site Facemash, et le conseil d'administration voulait me voir. Tout le monde a pensé que j'allais être expulsé. Mes parents sont venus ici pour m'aider à emporter mes affaires. Mes amis m'ont fait une fête. Qui a fait cela ? Comme par chance, Priscilla était à cette fête avec ses amis. Et nous nous sommes rencontrés dans la ligne pour la salle de bain dans le Pfoho Belltower (un dortoir), et je me suis tourné vers elle et j'ai dit : « Je serai expulsé dans trois jours, alors nous devons rapidement nous voir. » 3. « Les idées ne sont pas complètement formées. Elles ne deviennent claires que lorsque vous travaillez dessus. Il faut simplement commencer. Si je devais savoir tout ce qui concerne la connexion des personnes avant de commencer, je n'aurais jamais construit Facebook ». 4. « Il est vraiment bon d'être idéaliste. Mais soyez prêt à être mal compris. Toute personne qui travaille sur une grande vision va être appelée folle, même si vous finissez juste ». 5. « Il y a quelque chose qui ne va pas avec notre système lorsque je peux partir ici et faire des milliards de dollars en 10 ans, alors que des millions d'étudiants ne peuvent même pas se permettre de rembourser leurs prêts, et encore moins de démarrer une entreprise ». 6. « Chaque génération élargit sa définition de l'égalité. Les générations précédentes ont lutté pour le vote et les droits civils. Ils avaient le New Deal et la Grande Société. Et maintenant, il est temps pour notre génération de définir un nouveau contrat social ». 7. « Nous devrions explorer des idées comme un revenu de base universel pour nous assurer que tout le monde a un coussin pour essayer de nouvelles idées. Nous allons tous changer de travail et de rôles à plusieurs reprises, donc nous avons besoin de services de garde abordables pour aller au travail et soins de santé qui n'est pas lié à un seul employeur ». 8. « Les millénaires sont déjà l'une des générations les plus charitables de l'histoire. En seulement un an, plus de trois millénaires américains sur quatre, ont fait un don à la charité et plus de sept sur dix ont mobilisé de l'argent pour un autre. Mais ce n'est pas seulement de donner de l'argent. Vous pouvez également donner du temps. Et je vous le promets, si vous prenez une heure ou deux par semaine, c'est tout ce qu'il faut pour donner à quelqu'un une main et les aider à atteindre leur potentiel. 9. « Chaque génération élargit le cercle des personnes que nous considérons « l'un de nous ». Et dans notre génération, cela inclut maintenant le monde entier... Mais nous vivons dans un temps instable. Il y a des gens laissés par la mondialisation dans le monde entier. Et il est difficile de s'intéresser aux personnes dans d'autres endroits quand nous ne nous sentons pas dans notre peau, quand nous ne nous sentons pas bien à propos de nos vies ici, à la maison. Il y a des pressions pour faire avancer. 10. « C'est la lutte de notre temps. Les forces de la liberté, de l'ouverture et de la communauté mondiale contre les forces de l'autoritarisme, de l'isolationnisme et du nationalisme. Forces pour le flux de la connaissance, du commerce et de l'immigration contre ceux qui les ralentissent. Pas une bataille de nations. C'est une bataille d'idées ». Traduit par Ralph Tedy Erol  Source HARVARD UNIVERSITY MARK ZUCKERBERG FACEBOOK Related Articles  Facebook apporte une importante nouveauté sur Messenger  Le fondateur de Facebook va enfin obtenir son diplôme !  Le bouton « je n’aime pas » arrive bientôt sur Facebook, mais… Comments  Popular Sections Right Now  Qui est Jack Guy Lafontant, Premier ministre nommé par Jovenel Moïse ? | Loop News Loop Haiti  (PHOTOS) Funérailles de l'ancien Président René Préval | Loop News Loop Haiti  René Preval est mort | Loop News Loop Haiti  5 bonnes raisons de se masturber quand on est une femme | Loop News Loop Haiti  Jovenel Moise met son Premier ministre en garde contre la corruption | Loop News Loop Haiti  Les conseils du président Jovenel Moise aux jeunes d'Haïti | Loop News Loop Haiti Recommandé par Partager cet article avec quelqu’un Share to FacebookShare to TwitterShare to LinkedInShare to WhatsAppShare to Facebook MessengerShare to EmailShare to TelegramShare to More Trending  Le gouvernement propose une nouvelle forme d’identification en Haïti  Une étudiante américaine publie sa thèse en créole haïtien  Un Haïtien lauréat de la meilleure thèse de doctorat  Les résultats de l’autopsie de René Préval sont connus  De fortes pluies sont prévues sur Haïti À l'instant  5 choses à savoir sur le déroulement des examens officiels  Une Haïtienne gagne un grand concours culinaire à Washington  Michel Sardou va arrêter de chanter Les Plus Commentés  Les pays les plus touchés par le terrorisme depuis 20 ans  J. Sauveur Jean : « Je n’ai jamais été confortable au PHTK »  5 choses à savoir sur la grève des ouvriers de la SONAPI  CATÉGORIES Actualités Locales Actualités Internationales Culture Style de Vie Sports Business Technologie Evénements LOOP NEWS Conditions D’utilisationPolitique De ConfidentialitéPolitique De CommentaireA ProposContactez-NousSoumettre Un Article NEWSLETTER  COPYRIGHT 2017 BY TREND MEDIA | ALL RIGHTS Haiti Monde Info
Kétel Jean-Philippe, le député de Jacmel Haiti Monde Info Portrait de parlementaires Le député Kétel Jean-Philippe, 36 ans, n’est pas de ceux dont le passage au Parlement restera inapercçu. Jeune et fougueux, il est l’un des parlementaires à surveiller tout au long de la 50e législature. Portrait. Publié le 2017-05-26 | Le Nouvelliste 1 / 1  National - Personne ne le voyait siéger au Parlement de si tôt. Kétel Jean-Philippe l’a lui-même avoué. Le désormais député de Jacmel, ville mythique qui a passé la précédente législature sans représentant à la Chambre des députés, a défié les pronostics en conquérant les cœurs des Jacméliens pour les représenter à la 50e législature. Le fougueux enseignant est arrivé à mettre K-O, non sans manière, de grosses cylindrées de la politique dans le Sud-Est lors des législatives de 2015. C’est contre un certain Jacques Junior Khawly, un mapou dans le paysage politique et économique de la région, que l’homme de « Cochon-Gras » a gagné haut la main ces joutes au second tour. Son mentor, Gérald Mathurin… Son triomphe n’est toutefois pas le fruit du hasard. Son élection, tout un symbole, affirme-t-il. « La population jacmélienne voulait envoyer un signal fort pour dire qu’elle veut de nouvelles têtes dans la gestion de la cité, qu’elle veut être représentée autrement », opine Kétel Jean-Philippe, très reconnaissant envers l’ancien ministre Gérald Mathurin, son mentor, qui s'est battu vaillamment pour l’imposer aux électeurs. « Mais en réalité, ma candidature a été de prime abord imposée par le coordonnateur départemental de l’OPL, Télémaque Antonis», a tenu à préciser Kétel Jean-Philippe, soulignant avoir accepté de se porter candidat après moult discussions et réflexions. « L’une des raisons m’ayant poussé à la réflexion, c’est le problème de financement de ma campagne. » Parcourir les montagnes de Jacmel sur une motocyclette Avoir acquis à sa cause une importante frange de la jeunesse ainsi que des structures organisées regroupées au sein d’une plateforme politique dirigée par M. Mathurin est, pour lui du pain bénit. « Ces supports m’ont permis d’avoir une popularité incontournable», martèle le parlementaire, mettant en avant son manque de moyens par rapport à ses concurrents. «J’ai fait toute ma campagne avec une motocyclette prêtée par un ami. J’ai parcouru les onze sections communales. J’ai été ridiculisé par les partisans de mes concurrents pointant du doigt ma pauvreté… », ajoute-t-il. La posture d’un leader À la Chambre des députés, il n’a pas pris de temps pour se distinguer par la qualité de son discours dans les débats et par ses positions. On le voyait au four et au moulin lors de l’élection au second degré de l’ex-président Jocelerme Privert. Il ne digère pas d’ailleurs la victoire de ce dernier sur Edgard Leblanc Fils qu’il avait défendu bec et ongles. « C’est du moins cette séance qui m’a le plus marqué jusque-là. Cela m’a permis de voir l’hypocrisie des uns et des autres », dit-il, se décernant au passage un satisfecit après sa première année au Parlement. À son actif : une proposition de loi sur l’octroi de décharge, document déjà voté en première lecture par l’assemblée des députés. « J’ai également combattu, par le biais de la commission que je dirige, pour faire passer le projet de loi sur la modernisation de la formation professionnelle » Son parcours… Détenteur d’un master en sciences de l’éducation, le député Kétel Jean-Philippe n’est quand même pas tombé du ciel. Dès son jeune âge, il rêvait de la politique. Mais ce virus l’a effectivement piqué en 2008. « C’est à cette date que je commence à m’engager activement dans des structures politiques», raconte-t-il, citant la plateforme d’organisations des jeunes de Jacmel(Plasojj). « C’est là que débute pour de bon mon combat politique». Trois ans plus tard, il a décidé d’intégrer le parti politique OPL dirigé alors par le professeur Sauveur Pierre Étienne. Sa détermination et son engagement ont permis aux membres du parti de le désigner comme responsable de la coordination départementale du Sud-Est en 2014. Même s’il prenait des échelons au sein du parti, il ne se rêvait pas candidat de si tôt à quelque poste que ce soit. « Car je pensais que je n’avais pas encore de maturité économique surtout », explique celui qui est aujourd’hui à son deuxième mandat à la tête de la Commission permanente Éducation de la Chambre basse. Arrivé à la tête de cette commission, il n’a fait que réaliser un rêve de campagne. L’éducation a été toujours mon principal cheval de bataille, affirme ce jeune père de deux filles, qui vit en union libre. L’ex-journaliste devenu parlementaire a roulé sa bosse dans diverses stations de radio régionales, dont EFATA et Hispaniola de Jacmel. Enseignant de son état, il dispense jusque-là des cours au niveau scolaire et universitaire dans plusieurs établissements de son département. Né le 3 novembre 1981 à Cochon-Gras, quartier de Marbial à Jacmel, Kétel Jean-Philippe est le fils d’un agent agricole, Hector Cassagnol et d’une « madan Sara », Elza Jean-Phillippe, dont il porte le nom d’ailleurs. Aîné d’une famille de quatre enfants du côté maternel, c’est à l’âge de 12 ans qu'il a fait pour la première fois la connaissance d’une salle de classe. C’était en 1993. « Aller très tard à l’école était monnaie courante pour les campagnards, se rappelle Kétel Jean-Philippe, fier de son évolution. Ma maman se voyait obligée de descendre dans la ville de Jacmel pour me faire bénéficier du pain de l’instruction. C’était à l’École Charles Moravia (1993-1998 où j’ai fait toutes mes études primaires dans des conditions très précaires. » Son certificat d'études primaires en poche, le fils à maman a intégré le lycée Pinchinat de la cité d’Alcibiade Pommeyrac pour poursuivre ses études secondaires. Pour faire bonne figure ensuite (en philosophie) à l’École normale supérieure (ENS), puis à la Faculté des sciences humaines (en communication sociale) de l’Université d’État d’Haïti (UEH). Haiti Monde Info

vendredi 26 mai 2017

Réunion de travail autour des projets financés par la BID. Haiti Monde Info Des représentants du MENFP, du MEF et de la BID participent à cette rencontre présidée par le titulaire du ministère, M. Pierre Josué Agenor CADET. L'objectif essentiel de cette réunion est de faire le bilan des projets arrivés à terme et de voir les perspectives pour les nouveaux projets dans le cadre de la 5ème opération financée par la BID. Il s'agit d'en tirer les leçons apprises des projets déjà exécutés afin de mieux orienter les actions à l'avenir pour l'efficacité des nouveaux projets. Les problèmes relevés notamment dans la mise en oeuvre des projets d'infrastructures scolaires et pour l'amélioration de la qualité de l'éducation sont au centre des échanges. Une des recommandations concerne, entre autres, une plus forte implication des communautés locales et des firmes locales dans l'exécution des projets qui permettrait d'améliorer l'efficacité des projets, diminuer les coûts et avoir une meilleure supervision. Haiti Monde Info
et au Mexique. Haiti Monde Info
Home / Actualités Gouvernementale / La Présidence / Le Président de la République de retour au pays, après son voyage en Equateur et au Mexique  Port-au-Prince, Jeudi 25 Mai 2017 : Le Président de la République, Son Excellence Monsieur Jovenel Moïse, est de retour au pays, ce Jeudi 25 Mai, après un séjour de deux jours en terre étrangère : d’abord en Equateur pour assister à l’investiture de son nouveau Président, M. Lenin Moreno ; ensuite au Mexique, au 5e Sommet de la Plateforme Globale pour la réduction des risques et désastres.  Au cours d’un point de presse donné à son arrivée au Salon diplomatique de l’Aéroport International Toussaint Louverture, le Chef de l’Etat est revenu sur ses nombreuses rencontres et activités officielles en Equateur et au Mexique. En Equateur, en marge de l’investiture de Son Excellence Monsieur Lenin Moreno, le Président Jovenel Moïse a eu une rencontre bilatérale de haut niveau avec le Premier Vice-président de la République de Cuba, M. Miguel Díaz-Canelur, sur des questions liées à la coopération technique pour la construction de réservoirs qui devront servir à accroître la production agricole. « Cuba a promis d’envoyer des ingénieurs agronomes en Haïti qui travailleront avec nos techniciens haïtiens au niveau de la constructions des infrastructures agricoles, mais aussi dans la réalisation de diverses études sur les réservoirs agricoles », a affirmé le Chef de l’Etat. Les discussions ont porté sur l’établissement de relations commerciales solides entre les deux pays, le renforcement de la coopération médicale notamment dans le domaine de la gestion des hôpitaux et la poursuite du programme de bourses d’études dans les domaines de l’agriculture, de la médecine vétérinaire et de la pêche. Au Mexique, le Président de la République a participé, aux côtés de plusieurs Chefs d’Etat étrangers, à diverses discussions dans le cadre du 5e Sommet de la Plateforme Globale pour la réduction des risques et désastres. Le Chef de l’Etat a profité de l’occasion pour exprimer l’intérêt accordé par Haïti à l’organisation de cet événement majeur des Nations Unies pour la région. « Cet événement nous offre un espace idéal pour présenter le bilan des dégâts causés par les catastrophes naturelles au cours des dix dernières années, tant en termes de pertes en vies humaines qu’en pertes économiques », a souligné le Président Jovenel Moïse, tout en insistant sur l’importance d’un tel sommet dans l’élaboration et l’adoption de politiques visant la réduction considérable des risques de désastres naturels et les pertes économiques. En marge de ce Sommet, à Cancun (Mexique), le Chef de l’Etat, accompagné du Ministre de l’Intérieur, M. Max Rodolphe Saint Albin, a eu une rencontre bilatérale avec le nouveau Président mexicain, M. Enrique Pena Nieto. Les deux Chefs d’Etat ont d’abord discuté sur des questions liées à l’immigration, notamment sur la situation des immigrants haïtiens sur la frontière américano-mexicaine. Le Chef de l’Etat a plaidé pour la régularisation de la situation de ces citoyens haïtiens, afin qu’ils puissent travailler au Mexique ; ensuite, sur le renouvellement des bourses d’études octroyées par le Gouvernement mexicain aux Haïtiens et l’octroi d’autres bourses dans des domaines spécifiques tels que la Géologie, les études du sol, etc. Le Président de la République a aussi souligné la nécessité de réactiver la coopération entre les secteurs privés haïtien et mexicain, notamment dans les domaines de l’agro-industrie, de la transformation de produits agricoles et de la production de légumes ; enfin le renforcement de la coopération du Mexique avec le secteur public dans les domaines du développement durable. Face au malentendu existant entre le patronnât et le syndicat, le Président de la République a conclu en appelant tous les secteurs liés à l’emploi, au dialogue. « Seul le dialogue peut résoudre le problème du salaire minimum », a insisté le Chef de l’Etat qui appelle de ce fait le Conseil Supérieur des Salaires (CSS) à se prononcer sur la question. « L’Etat est en train de prendre des dispositions au niveau des parcs industriels pour répondre à des besoins urgents en terme d’accompagnement des ouvriers (subvention de la nourriture, assurance maladie, transport) », a terminé le Président Jovenel Moïse, tout en invitant tous les secteurs vitaux de la nation à travailler ensemble en vue de la stabilité politique, premier des biens publics. Haiti Monde Info Willy jean louis journaliste
Sur la demande du Sheriff de Clarke County, Le DG de la PNH Michel-Ange Gédéon, accompagné du Directeur de l'Administration Pénitentiaire le commissaire divisionnaire Jean Gardy Muscadin a visité l'état de Georgia. Durant cette visite, le DG en a profité d'examiner plusieurs centres de détention. Cette démarche rentre dans son plan de modernisation et du renforcement de la capacité structurelle des prisons du pays.
CRÉATIFS - Près de la frontière irako-koweïtienne, la police a arrêté un pigeon qui transportait des comprimés d'ecstasy dans un petit sac à dos accroché à son plumage. 25 mai 10:03Jaouad AIT AMEUR Il faut le reconnaître, les trafiquants de drogue ont parfois une imagination sans limite. Au Koweït, la police a mis la main mercredi 24 mai sur un pigeon chargé de 200 comprimés d’ecstasy. La drogue était enveloppée dans un mini sac à dos attaché à l'oiseau. Selon le quotidien local Al-Rai, ce sont des narcotrafiquants irakiens qui auraient utilisé cette astuce pour faire passer la marchandise dans le pays voisin malgré une frontière très sécurisée. LIRE AUSSI Les trafiquants transportaient la drogue lors de croisières entre la mer Méditerranée et le Brésil  Une technique déjà utilisée par les narcotrafiquants en Amérique du Sud EN VIDÉO Top 5 des méthodes pour transporter de la drogue (discrètement)    Démarrer la vidéo à :  Partager sur   Intégrer COPIER Taille : x px VOUS REGARDEZ Le petit sac qui contenait les comprimés était de la même couleur que le plumage de l’oiseau. Face à la recrudescence de ce nouveau trafic, la police koweïtienne surveillait particulièrement le ciel entre l’Irak et le Koweït. Depuis quelques années déjà, le transport de drogue par pigeons voyageurs est utilisé au Mexique et en Amérique latine pour traverser les frontières avec des produits illicites. Récemment, des dealers mexicains avaient même utilisé des drones pour livrer de la drogue dans une cour de prison... La technologie profite donc à tout le monde. Jaouad AIT AMEURMis à jour :Hier à 10:03 Créé : Hier à 10:03 PLUS D'ARTICLES Défigurée à l'acide, une jeune Indienne trouve l'amour en composant un mauvais numéro Treize ans après avoir quitté Harvard, Mark Zuckerberg a enfin reçu son diplôme... de droit Un pipeline de 7 km pour transporter 400 000 litres de bière à un festival de metal VIDÉO : Ils n'arrivaient pas à avoir d'enfants : les voici parents de triplés... pour la seconde fois ! Haiti Monde Info

jeudi 25 mai 2017

Haiti Monde Info franceinfo RADIO TV titres replay élections le live  Le président américain Donald Trump serre la main de son homologue français Emmanuel Macron lors de leur première rencontre, à l'ambassade américaine à Bruxelles, le 25 mai 2017. (REUTERS) Emmanuel Macron résiste à la poignée de main de Donald Trump et impressionne les médias américains Par franceinfo – France Télévisions Mis à jour le 25/05/2017 | 19:02 – publié le 25/05/2017 | 17:47 Une victoire écrasante pour Emmanuel Macron : le président français a rencontré Donald Trump pour la première fois, jeudi 25 mai, en marge d'un sommet de l'Otan à Bruxelles, mais les journalistes américains n'ont eu d'yeux que pour l'image de la poignée de main entre les deux hommes. Réputé pour broyer la main des personnes qu'il rencontre, le président américain a trouvé son maître, à en croire les médias outre-Atlantique. Voici la scène en images.  Donald Trump et Emmanuel Macron se serrent la main, le 25 mai 2017 à Bruxelles. (FRANCEINFO) Le journaliste chargé de suivre la visite du président américain pour les médias de son pays a décrit la confrontation en détail : "Ils se sont serré la main pendant un long moment. Chaque président s'est agrippé à la main de l'autre avec une intensité considérable, leurs phalanges sont devenues blanches, leurs mâchoires se sont serrées et leurs visages se sont crispés".  Une poignée de main de 19 secondes avec le Japonais Shinzo Abe Bloomberg consacre un article entier à une analyse de la scène élogieuse pour Emmanuel Macron : "Il n'a fallu que six secondes au président français pour faire du Trump mieux que Trump avec une poignée de main qui a montré au monde qu'il y avait un nouveau leader sur la scène mondiale". Même si le site reconnaît que "la grandeur et la décadence des nations tiennent rarement à ce genre de choses" et imagine Angela Merkel et Theresa May "lever les yeux au ciel" devant cette scène. Ce qui n'a pas empêché les journalistes et internautes de s'amuser de l'image du président américain battu à son propre jeu.  Un peu plus tard, les deux hommes se sont à nouveau croisés, ce qui a donné lieu à une nouvelle poignée de main, tout aussi brutale, repérée par un journaliste américain sur Twitter.  Le style de poignée de main de Donald Trump a déjà été longuement commenté. "Son truc est d'y aller fort puis de tenir la main juste un peu trop longtemps, souvent en tirant l'autre homme vers lui", analyse Bloomberg. Sa poignée de main de 19 secondes avec le Premier ministre japonais, Shinzo Abe, avait notamment été remarquée. En mars, il avait en revanche surpris en refusant de serrer la main à la chancelière allemande, Angela Merkel. 
Haiti Monde Info Causerie au consulat d’Haïti de Paris Louis-Philippe Dalembert raconte le sauvetage des Juifs d’Europe par Haïti à Paris Le consulat général de la République d’Haïti à Paris a organisé samedi dernier une causerie avec le romancier haïtien Louis-Philippe Dalembert autour de son dernier roman « Avant que les ombres s’effacent ». Le thème : Comment Haïti sauva-t-elle des Juifs pendant la Seconde Guerre mondiale? Par ce roman qui raconte la destinée tragique dont le cours fut heureusement infléchi par le docteur Ruben Schwarzberg, l’auteur a rendu un hommage plein d’humour à son pays qui a toujours été une terre d’accueil pour les victimes de l’histoire. Publié le 2017-05-23 | Le Nouvelliste 1 / 3  Culture - Une salle comble avec des photocopies de passeports et sauf-conduits que l’État haïtien avait accordés aux Juifs qui fuyaient le nazisme de Hitler lors de la Seconde Guerre mondiale. Quelques-uns prennent des photos placardées sur le mur du consulat pendant que d’autres essaient de lire ces documents comme s’ils cherchaient à comprendre si ces documents sont vrais. Devant des caméras de France Télévision et des médias haïtiens de Paris, le responsable de communication et des relations publiques du consulat, Maguet Delva, a introduit Louis-Philipe Dalembert avec des mots de remerciement pour ce roman qui, dit-il, présente une fois de plus « notre Haïti généreuse tendant les mains aux opprimés de l’époque, contrecarrant ainsi les choix politiques et irrationnels des nazis ». Le roman «Avant que les ombres s’effacent » retrace l’histoire du docteur Ruben Schwarzberg qui fut de ceux dont le nazisme a brisé la trajectoire pour se retrouver un jour en Haïti dans le cadre d’un vote par l’État haïtien, en 1939, d’un décret-loi autorisant ses consulats à délivrer passeports et sauf-conduits à tous les Juifs qui en formuleraient la demande. Une histoire qui a conduit son protagoniste dans un périple triangulaire qui a débuté en Pologne, passant par Paris pour finalement se terminer à Port-au-Prince. Sorti en mars dernier, ce roman de Louis-Philippe Dalembert revient sur une partie de l’histoire méconnue de la République d’Haïti qui a sauvé des centaines de Juifs pendant la Seconde Guerre mondiale à un moment où les Français, les Cubains, les Américains ne voulaient pas d’eux dans leurs pays. « À lire ce roman, on est à même de dire que c’est une symphonie où tous les violons se sont accordés pour attirer les mélomanes vers une réflexion infinie du début jusqu’au dernier son du concert. Quand on commence à lire ce livre, on doit le lire sans interruption jusqu’à la fin », a expliqué le consul général d’Haïti, Vilbert Bélizaire, soulignant par ailleurs que cette oeuvre évoque l’humanisme haïtien pendant la Seconde Guerre mondiale pour ces centaines de Juifs que l’État nazi voulait exterminer. « En octroyant cette terre d’asile à ces Juifs errants, Haïti a une fois de plus montré au monde entier que l’indépendance de notre pays en 1804 n’était pas un hasard. Nous avions montré, par ce geste, que nous étions contre la monstruosité barbare qui a toujours voulu prendre le dessus sur un monde plus humain et plus solidaire. » Le romancier Louis-Philippe Dalembert, qui est également professeur invité dans les universités américaines et suisses, ne va pas par quatre chemins pour critiquer l’image honteuse souvent d’Haïti en pointant du doigt des médias internationaux. « Par ce roman, nous voulons contribuer à ce travail de mémoire tout en disant aux autres que Haïti n’est pas seulement ce qu’ils veulent montrer. Nous ne pouvons pas dire que tout est parfait chez nous. Mais nous sommes un grand peuple et nous avons fait beaucoup de choses pour les peuples du monde, dont les Juifs d’Europe au cours de la Seconde Guerre mondiale.» S’interrogeant sur le fond historique de ce roman, l’auteur a souligné qu’il n'avait pas voulu faire un livre d’histoire même s’il a invoqué beaucoup de faits dans ce roman. « Mon objectif était de faire un roman pour expliquer cette page d’histoire qui mérite d’être connue par le plus grand nombre. Cependant, je me permets de prendre une certaine liberté historique dans le roman qu’un historien ne va pas prendre quand il raconte une histoire. Je joue avec des éléments d’histoire, j’invente certains personnages, mais je reste aussi dans cette vision qui consiste à faire connaître un pan important de notre participation à la Seconde Guerre mondiale, outre le fait qu’on a déclaré la guerre à l’Allemagne.» Cette causerie a été fortement marquée par les propos de certaines personnes qui ont déjà lu ce roman et par les commentaires de ceux qui viennent tout juste de se procurer un exemplaire. Le président de l’association EVOH« Évolution d'Haïti», Evens Nicolas, parle de ce roman comme « un voyage dans le temps et dans l’espace ». « De la Pologne à Haïti avec des escales, l’une plutôt longue en Allemagne et l’autre plutôt furtive à Paris [...], l’auteur a trouvé le bon compromis pour présenter, à tour de rôle et pendant tout le récit, le bien et le mal, l’affreux et l’agréable ». « La fiction, pour ancrer dans les mémoires cette belle tranche d’histoire, est pour les Haïtiens une page de grandeur et de dignité humaine ». Voilà comment le conseiller à l’ambassade d’Haïti, Garry Assad, a résumé cette époustouflante fresque historique qui est en liste, par ailleurs, pour remporter un prix Orange du livre qui est le prix littéraire français créé en 2009. « Ce roman riche en écriture et en histoire mérite d’être lu par non seulement des Haïtiens, mais aussi par des Juifs qui veulent comprendre un peu plus sur ce grand pays qu'est Haïti », a conclu le consul Bélizaire. Haiti Monde Info Willy jean louis
Le Président Jovenel Moïse a pris part au 5ème Sommet de la Plateforme Globale pour la réduction des risques et désastres à Cancun, Mexique. — Cet événement est très important pour Haïti dans l'élaboration et l'adoption de politiques visant la réduction considérable des risques de désastres naturels et les pertes économiques. — Aussi, il nous offre un espace idéal pour présenter le bilan des dégâts causés par les catastrophes naturelles au cours des dix dernières années, tant en termes de pertes en vies humaines qu’en pertes économiques. Haiti Monde Info Willy jean louis
Etats-Unis :
nouvelle gaffe de Donald Trump, qui révèle que deux sous-marins américains croisent près de la Corée du Nord Par franceinfo avec Reuters – France Télévisions Mis à jour le 25/05/2017 | 07:26 – publié le 25/05/2017 | 07:25 Nouvelle bourde de Donald Trump. Le président américain a informé le président philippin Rodrigo Duterte que les Etats-Unis avaient envoyé deux sous-marins nucléaires au large de la Corée, rapportent mercredi 24 mai le New York Times et Buzzfeed. Une sortie qui soulève de nouvelles questions sur la capacité du président américain à traite d'informations sensibles. "On ne parle jamais des sous-marins !", se sont exclamés trois responsables du Pentagone interrogés Buzzfeed. "Une grande puissance de feu là-bas" Les deux médias s'appuient sur une transcription rédigée par les services philippins de la conversation téléphonique que les deux dirigeants ont eue le 29 avril. Elle a fait l'objet d'une diffusion "confidentielle" par la division des Amériques du ministère philippin des Affaires étrangères. Selon ce verbatim, Trump a déclaré à Duterte que les Etats-Unis avaient "une grande puissance de feu là-bas". "Nous avons deux sous-marins - les meilleurs du monde. Nous avons deux sous-marins nucléaires, non pas que nous voulions nous en servir du tout", continue-t-il. Le New York Times s'est fait confirmer par un haut responsable de l'administration Trump que la retranscription philippine était fidèle aux échanges entre les deux dirigeants. L'attitude du président américain en ce qui concerne des informations sensibles a déjà donné lieu à controverse. Il lui a été reproché d'avoir divulgué des renseignements sur l'Etat islamique émanant d'un pays tiers au chef de la diplomatie russe, Sergueï Lavrov, et à l'ambassadeur russe à Washington, qu'il a reçus le 10 mai dans le bureau Ovale de la Maison blanche. A LIRE AUSSI Sommet de l'OTAN : rencontre entre Donald Trump et Emmanuel Macron Histoires d'Info. Otan : la promesse trahie des Etats-Unis ? VIDEO. Première rencontre entre Donald Trump et Emmanuel Macron, à l'ambassade américaine à Bruxelles Etats-Unis : la réforme de la santé privera d'assurance 14 millions de personnes dès 2018 Sommet de l’OTAN : première rencontre entre Emmanuel Macron et Donald Trump HMI/ Haiti Monde Info Willy jean louis
Haïti - Diaspora : Prolongation du TPS, la Sénatrice américaine Campbell alarmée 25/05/2017 10:44:47   La Sénatrice Daphne Campbell (démocrate, district 38) qui représente la communauté de Little Haiti a Miami en Floride, critique vivement la prolongation par l'administration du Président Donald Trump du « Temporary Protected Status » pour les immigrants haïtiens de seulement 6 mois et non de 18 mois comme les défenseurs du TPS l’espéraient. La Sénatrice Cambell rappelle que quelque 58,000 haïtiens bénéficient du programme TPS, et beaucoup d'entre eux se sont installés dans le sud de la Floride, affirmant que la déportation de ces haïtiens, pourrait dévaster les résidents temporaires et leurs familles. Campbell dit qu'Haïti est encore en train de se reconstruire après le séisme de 2010, l’épidémie de choléra et la passage l'ouragan Matthew et n'est pas prêt à recevoir des dizaines de milliers de déportés. « Alors, qu'est-ce qu'ils vont faire en Haïti ? Qu'en est-il s’ils n'ont aucun membre de leur famille, aucun endroit où vivre, pas de travail ? Qu'est-ce qu'ils vont faire ? » demande Campbell « mais qu'est-ce qu'ils vont faire... ? » Selon le calendrier actuel, les haïtiens bénéficiaires du TPS, pourraient être expulsables vers Haïti a partir du 22 janvier 2018, si aucune nouvelle prolongation n’intervient. HMI/ Haiti Monde Info

mercredi 24 mai 2017

République de Cuba Home / Actualités Gouvernementale / La Présidence / Rencontre bilatérale entre le Président de la République et le Premier Vice-président de la République de Cuba  Port-au-Prince, mardi 23 Mai 2017 : Le Président de la République, Son Excellence Monsieur Jovenel Moïse, a eu, dans la soirée du mardi 23 Mai 2017, une rencontre bilatérale de haut niveau avec le Premier Vice-président de la République de Cuba, M. Miguel Díaz-Canel.  La rencontre a permis au Chef de l’Etat haïtien de s’entretenir avec le Vice-président cubain sur divers sujets d’intérêt national et en rapport avec la poursuite de la coopération entre Cuba et Haïti. Au cours de ce tête-à-tête, le Président de la République a abordé avec son interlocuteur des questions liées à la cooperation technique pour la construction de reservoirs qui devront servir à accroître la production agricole. Les discussions ont porté également sur l’établissement de relations commerciales solides entre les deux pays, le renforcement de la coopération médicale notamment dans le domaine de la gestion des hôpitaux et la poursuite du programme de bourses d’études dans les domaines de l’agriculture, de la médecine vétérinaire et de la pêche. Haiti Monde Info Willy jean louis
Trump entre suppression du TPS et coupe drastique de l’aide américaine à Haïti Publié le 2017-05-23 |Haiti Haiti Monde Info  Nationa Au lieu d’être le « meilleur champion » des Haïtiens comme il l’avait promis à Little Haiti lors de la campagne pour la présidentielle des Etats-Unis, Donald Trump est devenu le pire cauchemar de 58 706 ressortissants haïtiens détenteurs du TPS. A compter du 22 juillet 2017, ceux-ci disposent d’une « extension » de six mois pour se préparer à quitter les Etats-Unis le 22 janvier 2018 au plus tard, a annoncé une communication de John Kelly, responsable du Homeland Security, lundi 23 mai 2017. La République d’Haïti, a souligné John Kelly, a fait des « progrès dans plusieurs domaines depuis le séisme de 2010 ». Il a évoqué la fermeture de 98 % des camps de sinistrés du séisme, le retrait de la Minustah, l’annonce de la reconstruction du palais national et évoqué, contrairement aux chiffres de la Banque mondiale, la croissance de l’économie haïtienne. La communication des services de John Kelly a souligné que la décision d’accorder une extension de six mois a été prise après une « analyse attentive des conditions en Haïti » et de « conversations directes avec le gouvernement haïtien » qui a exprimé le désir d’accueillir ses ressortissants dans un proche futur. Déception, choc et clarification « Je suis déçue par la décision de Homeland Security et choquée par la déclaration de Kelly que cette décision a été prise soi-disant en collaboration avec le gouvernement haïtien », a confié au journal Marlène Bastien mardi en fin d’après-midi. Brûlant d’envie de savoir qui au sein du gouvernement a parlé à John Kelly et le contexte des propos évoqués, l’activiste, qui souligne que le gouvernement haïtien n’a pas été capable d’accueillir comme il se doit des milliers de ses ressortissants expulsés de la République dominicaine, tance les autorités haïtiennes. Pour Marlène Bastien, elles ne font pas ce qu’il faut en termes de lobbying, de plaidoyer comme les responsables nicaraguayens pour leurs ressortissants, bénéficiaires aussi du TPS. Favorable à une extension de 18 à 24 mois, la responsable de Fan m Ayisyen nan Miami doute que la lettre du président Jovenel Moïse au président Donald Trump sollicitant l’extension du TPS pour au moins 18 mois soit arrivée à temps. La bataille va continuer ; son association est assaillie par des appels téléphoniques d’Haïtiens plongés dans l’angoisse, a expliqué Marlène Bastien, qui ne croit pas à un changement de cap de l’administration Trump quand il s’agira de faire l’évaluation de cette extension à la fin de l’année. Paul Altidor : la position du gouvernement n’a pas changé La position du gouvernement haïtien n’a pas changé. Il a sollicité une extension d’au moins 18 mois pour les ressortissants haïtiens bénéficiant du TPS. Lors des conversations avec le secrétaire John Kelly, ceci a toujours été clairement explicité, a confié au journal l’ambassadeur d’Haïti à Washington, Paul Altidor, qui a voulu dissiper toute « confusion » provoquée par la communication de Homeland Security. Les discussions avec le gouvernement américain sur le TPS vont continuer, a poursuivi l’ambassadeur Altidor, qui indique que la lettre du président Jovenel Moïse au président Donald Trump n’est pas arrivée à temps. Cependant, sa teneur était connue par la Maison-Blanche. « Il y a des discussions en cours pour qu’il y ait une conversation téléphonique entre le président haïtien Jovenel Moïse et son homologue Donald Trump. Ils ne parleront pas que du TPS », a confié au journal l’ambassadeur Paul Altidor. John Kelly pourrait visiter Haïti « Il n’y a juste aucune façon pour Haïti d’absorber dans six mois le retour de 60 000 de ses ressortissants », a indiqué le sénateur démocrate Bill Nelson, lundi. C’est comme avaler d’un coup une grosse portion de nourriture, a poursuivi Bill Nelson. Le sénateur démocrate a confié avoir demandé à John Kelly une extension de 18 mois. John Kelly, a révélé le sénateur Bill Nelson, cité par le Miami Herald, planifie de se rendre en Haïti pour rencontrer des officiels haïtiens. Le sénateur républicain Marco Rubio s’est félicité d’avoir sollicité et obtenu de la Maison-Blanche cette extension de six mois, cependant, de passage à Miami, le journal Le Nouvelliste a pu palper l’angoisse des Haïtiens. « Dieu seul sait ! Tant de familles risquent d’être déchirées », a laché une Haïtienne lors d’une conversation sur le sujet à l’aéroport de Fort Lauderdale mardi matin. Elle s’est mise à douter des politiciens et des promesses non tenues. Edwidge Danticat, un autre leadership pour éviter les humiliations « Malgré les recommandations de journaux américains, de groupes d’élus américains, de citoyens et de religieux, le gouvernement américain a malheureusement décidé d’une extension de six mois », a indiqué la romancière Edwidge Danticat, soulignant qu’il est possible que le TPS soit éliminé pour nos frères et sœurs. « Nous continuons la lutte dans l’espoir d’un autre avenir pour nos frères et sœurs dans l’éventualité de l’arrêt de ce programme », a-t-elle indiqué, appelant les autorités haïtiennes et la société dans son ensemble à la construction de conditions nécessaires pour que les Haïtiens n’aient à subir tant d’humiliation. Qu’il s’agisse des USA ou de République dominicaine, a poursuivi Edwidge Danticat, contactée mardi soir par le journal Le Nouvelliste. Michel Martelly : "Haïti n’est pas l’enfer" L’ex-président haïtien, Michel Martelly, qui s’est exprimé à l’ONU sur le partenariat public-privé, a dit qu’en dernier ressort, Haïti a besoin d’échanges commerciaux et non d’aide. Il a remercié les Etats-Unis pour l’aide à Haïti après le séisme du 12 janvier. Michel Martelly a indiqué qu’il aurait souhaité voir une extension de 18 mois du TPS pour les Haïtiens afin de donner le temps au nouveau gouvernement de passer à l’action et matérialiser ses promesses. « Je sais que la fin de ce programme peut effrayer certains mais c’est une façon de les réveiller pour qu’ils fassent des choses…Haïti n’est pas l’enfer. C’est un bel endroit et un pays ne fait pas les gens, ce sont les gens qui font un pays », a ajouté Michel Martelly, cité par le Miami Herald. « Je veux que mes compatriotes haïtiens prennent en charge leurs vies. En retournant en Haïti, en aidant à créer une meilleure Haïti, ils créeront un meilleur peuple », a dit l’ex-président Michel Martelly. Trump coupe et coupe Entre-temps, mardi, le nouveau projet de budget de Donald Trump propose de couper 33,4 millions des 191 millions de dollars alloués à l’USAID pour l’exercice 2016-2017. Cette coupe budgétaire, si elle est approuvée par le congrès américain, n’aiderait pas l’économie haïtienne déjà dans une situation difficile, a commenté l’économiste Kesner Pharel, évoquant, entre autres, l’impact de l’ouragan Matthew. Les dommages de près de 3 milliards de dollars ont fait plus de pauvres dans le pays, a expliqué l’économiste, qui, contrairement à John Kelly, ne considère pas le retrait de la MINUSTAH comme un indicateur de recouvrement d’Haïti après le séisme du 12 janvier 2010. Contactez un avocat d’immigration Me Lody Jean, président de l’Association des avocats haïtiens, a recommandé aux concernés de voir un avocat d'immigration afin de connaître leurs options. La situation de chaque détenteur du TPS est différente. Il y a ceux qui sont entrés légalement, ceux qui ne le sont pas et finalement ceux qui ont fait l'objet d'un ordre définitif de déportation, a-t-elle souligné lors d’une causerie sur le thème « Connaissez vos droits », vendredi dernier à l’initiative de Fan m Ayisyen nan Miami et de l’Association des avocats Haïtiens. "Qu'est-ce qui se passe si le pire arrive? Si l'on déporte les gens qu'on aime? Ce sont des familles qui seront divisées", a indiqué Me Adonia Simpson, soulignant l'urgence d'avoir un plan, une stratégie. Cette stratégie, à côté des actions en justice, par devant des juges de l'immigration, consiste aussi à montrer que les détenteurs du TPS travaillent, paient leurs taxes. Par exemple, ils sont 500 à travailler à Disney dans l'Etat de la Floride. Ils possèdent aussi des entreprises. Le syndicat "Union" des travailleurs de l'Etat de la Floride reconnaît l'apport important de la communauté haïtienne, les détenteurs du TPS à l'économie de cet Etat, a indiqué Adonis Simpson. Pour Me Marlon A Hill , le TPS n'est pas une "une charité" faite aux Haïtiens. Il reflète les "valeurs américaines" de solidarité vis-à-vis de ressortissants d'autres pays en difficulté. Il faut, a-t-il appelé, convaincre le peuple américain de la nécessité de renouveler le TPS. Le climat est lourd, pesant pour les détenteurs du TPS. Ces temps-ci, il y a des patrouilles de l'immigration dans les rues. Ce sont des choses que l'on voyait dans le temps, dans les années 80, a confié Edwidge Danticat, romancière d'origine haitienne de renommée internationale, modératrice à cette causerie. « Il y a des gens dans la communauté qui ont peur. J'utilise ma voix pour ceux qui ne s'expriment pas par crainte de représailles », a souligné Edwidge Danticat, qui se voit "comme un pont", le porteur du message de dizaines de milliers de personnes qui veulent continuer à vivre aux USA. « Je suis un exemple vivant de l'intégration des Haïtiens et je veux le renouvellement du TPS. Je suis, de par mon histoire, très intéressé et très impliqué », a indiqué Jean Monestime, élu depuis 2010 au poste de maire ascesseur (commissioner) du district 2 North East regroupant North Miami (Little Haiti), North Miami Beach, Biscayne Garden et Liberty City. Cet Haïtien d'origine, voyageur clandestin, est arrivé par bateau en Floride il y a 37 ans. « Je suis un modèle d’intégration », a-t-il mis en avant à un moment où le rêve américain semble s’éloigner pour des dizaines de milliers d’Haïtiens. HMI / Haiti Monde Info Willy jean louis
 Haïti - Genève : L'ex-Président Michel Martelly, panéliste invité à la CEE-ONU 24/05/2017 10:03:02   Mardi au Palais des Nations Unies à Genève (Suisse), dans le cadre de la session du Comité sur l'innovation, la compétitivité et les partenariats public-privé de la CEE-ONU (23 au 25 mai), l'ex-Président Michel J. Martelly était l’un des intervenants invités sur le panel traitant des Partenariats Public-Privé, aux côtés d’Amir Dossal, le Fondateur du « Global Partnerships Forum » et de Jessica Faieta, Directrice du Bureau régional pour l’Amérique latine et les Caraïbes du Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD). Intervention de Michel Martelly : « Mon inclusion sur ce panel aux côtés de membres respectés est un honneur absolu. Votre implication dans cette entreprise renvoie à mon espoir personnel de voir une région plus durable et plus équitable grâce à la collaboration. Un aspect pertinent de la réunion d'aujourd'hui est de démontrer comment les Partenariats Public-Privé (PPP) servent d'outils pour atteindre nos objectifs de développement durable. L'espoir de vivre un Haïti socialement, écologiquement et économiquement viable est celui que j'ai apprécié tout au long de ma présidence et plus encore maintenant. Le fait que l'objectif initial de développement durable vise la fin de la pauvreté n'est pas accidentel, la pauvreté est l'obstacle ultime à tous les aspects de la durabilité. Dans un pays, comme Haïti, les obstacles posés par la pauvreté ne sont pas hypothétiques, la pauvreté bloque l'accès aux besoins fondamentaux, comme l'éducation, la nutrition et la santé pour n'en citer que quelques-uns. En tant qu'ancien Président, j'ai toujours mis tous mes meilleurs efforts pour tenter d'éradiquer la pauvreté et je préconisais que l'on mette l'accent sur l'obtention d'une durabilité globale pour Haïti. Mes co-panélistes, je suis certain que nos intentions n'ont pas varié de manière significative et par conséquent, vous aussi pouvez attester que la bonne foi seule ne suffit pas. L’identification et l'obtention des ressources nécessaires pour atteindre ces objectifs nécessitent un État stratégique, capable d'exercer efficacement ses fonctions publiques. Un État capable de promettre et de livrer l'assurance juridique, politique et administrative pour assurer le partenariat du secteur privé, sans parler des incitations susceptibles d'endosser la compétitivité. Dans ses efforts de gouvernance économique, sociale, politique et territoriale, j'aime croire que les rênes de l'administration actuelle sont entre de bonnes mains. Dans ce cas, quelle est l'importance du PPP pour Haïti ? Dans l'économie déjà épuisée d'Haïti, le PPP peut facilement être le premier maillon de la chaîne qui mène sûrement à l'amélioration des conditions de vie de sa population en tant qu'engagement mutuel des acteurs étatiques et privés. Le PPP peut et doit jouer un rôle primordial dans la prospérité d'Haïti, en le plaçant sur la carte de visite mondiale grâce au financement d'infrastructures, aux services publics, à la création d'emplois et au développement d'entreprises innovantes dans des secteurs insuffisamment exploités, tels que l'industrie de la construction, la recherche, l'énergie et beaucoup d'autres. En 2012, au cours de mon administration, nous avons reconnu les lacunes importantes qui pourraient être comblées par l'intégration de PPP dans le cadre du financement du développement, du service des besoins de la population et de la fourniture de biens publics. Par conséquent, une unité centrale pour la gestion des partenariats public-privé a été créée au sein du ministère de l'Économie et des Finances. Étant donné que l'éducation accessible, a longtemps été une priorité personnelle, l'une des activités les plus récentes illustrant une collaboration structurée entre les institutions étatiques et privées a été la mise en place du Programme Universel Gratuit et Obligatoire de Scolarisation (PSUGO). Au début de l'année scolaire 2011-2012, un contrat de service a été signé avec de nombreuses écoles privées qui ont bénéficié à plus d'un demi-million d'étudiants. Au cours de l'année suivante, le programme a été élargi pour inclure le double d'écoles participantes et d'étudiants bénéficiaires. Les résultats sont encourageants car il y a une nette amélioration du taux de réussite scolaire. Pour ce faire, une augmentation substantielle des fonds et de la confiance devait être accordée au secteur de l'éducation. Par rapport aux niveaux passés de scolarisation scolaire nationaux, des changements considérables ont été enregistrés. Ces résultats impressionnants n'ont pas pu être obtenus sans l'utilisation d'infrastructures et d'équipements scolaires privés. C'est donc un bon exemple de la mise en place d'un cadre de partenariat public-privé, mais cela ne limite pas les possibilités. Il existe de nombreuses opportunités. Malgré les obstacles, la République d'Haïti projette maintenant une meilleure image des opportunités d'affaires dans les domaines d'intervention où des investissements peuvent être réalisés dans des programmes ou projets majeurs qui ont été insuffisamment exploités ou pas du tout. Il existe un terrain fertile pour l'extension des PPP avec un potentiel considérable de croissance capable de bénéficier durablement à l'économie haïtienne grâce à la fourniture de services publics. Quelques exemples de telles opportunités sont : le développement d'économies vertes et bleues dans les domaines de l'énergie, des infrastructures de transport, de l'agriculture et de la pêche, ainsi que des communications et un certain nombre de services sociaux. Par exemple, Haïti a plus de 1,500 km de littoral et pourtant le transport maritime n'est pas organisé. La nécessité de développer le sous-secteur des transports en Haïti dans ses trois dimensions : la terre, la mer et l'air est vitale. Il existe également des perspectives régionales, par exemple : 1. La Création d'une plate-forme caribéenne pour la promotion du commerce et des investissements ; 2. L'institutionnalisation d'un forum caribéen et latino-américain pour promouvoir l'investissement et les bonnes pratiques en matière de gouvernance économique et de développement de partenariats. Les implications des partenariats mentionnés en partie, représentent ma vision personnelle, ma mission et mon engagement envers le développement durable en Haïti. Même si je ne suis plus Président, je reste très dévoué à l'espoir d'avoir une Haïti social, écologiquement et économiquement viable. Alors que je réfléchis davantage, je me suis rendu compte que la meilleure chose depuis que je ne suis plus Président, c'est la capacité de réévaluer de manière approfondie ce qui a fonctionné, ce qui a permis ou ne pouvait pas fonctionner ainsi que les adaptations pour de meilleures pratiques existantes. Mon espoir pour la durabilité, continue d'alimenter ma passion innée pour une Haïti meilleur. Derrick Jensen, l'activiste environnemental américain a déclaré " We cannot hope to create a sustainable culture with any but sustainable souls." Ceci est une courte citation, mais elle résonne profondément en moi. Parce que, tout espoir pour une Haïti durable implique l'inspiration et l'implication de toutes ses personnes. En considérant la situation actuelle d'Haïti, juxtaposée aux Objectifs de Développement Durable (ODD) pour l'année 2030, il est clair que c'est une course difficile. Ma préoccupation par là, me force à m'engager davantage dans les ODD. J'ai donc rassemblé d'autres personnes avec un espoir semblable pour contribuer à la création d'une Haïti que je continue à envisager. Avec l'implication de personnes partageant les mêmes idées, j'espère inspirer et inciter un mouvement dont la mission est de promouvoir une Haïti économiquement viable grâce à l'autonomisation des jeunes entrepreneurs face à la pauvreté avec des solutions durables et un impact social significatif. L'idée est de créer un mouvement d'autonomisation sociale dont les participants contribuent à une Haïti équilibrée atteignant les objectifs de développement durable avec ses homologues internationaux. En disant cela, je fais allusion à une inter-connectivité de l'autonomisation avec une réalisation durable des objectifs en Haïti. Notre peuple doit être habilité à contribuer à nos objectifs. Pour conclure, je souligne l'énorme empêchement que représente la pauvreté pour la réalisation des ODD. À moins que nous transformions nos passions en actions qui peuvent motiver les autres à participer à la lutte, les ODD de 2030 ne parviendront pas à devenir réalité dans ma partie du monde. Je vous remercie de cette occasion de partager et je vous encourage à tenir plus de ces échanges. » HL/ HaïtiLibre