mardi 6 octobre 2015
L'Institut de la Francophonie pour l'éducation s'installe à Dakar
Par HMI Publié le 06-10-2015 Modifié le 06-10-2015 à 14:14
La secrétaire générale de la Francophonie Michaëlle Jean et le président sénégalais Macky Sall, à Dakar le 5 octobre.AFP PHOTO / SEYLLOU
La création de l'Institut de la Francophonie pour l'éducation et la formation a été décidée lors du dernier sommet de la Francophonie. Ce centre sera donc basé à Dakar. La secrétaire générale de la Francophonie Michaëlle Jean en a détaillé les objectifs lundi 5 octobre en présence de Macky Sall.
Pratiquement un an après le 15e sommet de la Francophonie de Dakar qui l'a désignée Secrétaire générale de l'institution, la Canadienne Michaëlle Jean est de retour dans la capitale sénégalaise. Elle a lancé lundi 5 octobre aux côtés du président Macky Sall l’Institut de la Francophonie pour l’éducation et la formation.
En partenariat avec d'autres institutions existantes de la Francophonie, l’Ifef sera à la fois un laboratoire d'idées et un centre de formation et d'expertise technique pour renforcer les politiques éducatives.
« Nous voulons un centre d'excellence »
« Nous savons ce que nous voulons. Nous voulons un centre d'excellence. Un laboratoire innovant, un espace de recherche qui rassemblent toute l'expertise disponible au sein de l'espace francophone en matière d'éducation, de formation professionnelle et technique. Nous savons ce que nous visons : former sur dix ans de manière qualitative plus de 100 000 enseignantes et enseignants, formatrices et formateurs, et cadres éducatifs performants », a déclaré Michaëlle Jean.L'Institut sera construit dans la future Cité du savoir au pòle urbain de diamnadio. Les enjeux sont de taille : dans le monde, seul un tiers des pays ont atteint en 2015 l’ensemble des objectifs fixés en 2000 en matière d’éducation pour tous. jeanlouiswilly13@yahoo.fr
lundi 5 octobre 2015
Le Nobel de médecine honore la recherche sur les maladies parasitaires
Par RFI Publié le 05-10-2015 • Modifié le 05-10-2015 à 13:10
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Les trois lauréats du prix Nobel de médecine 2015, William Campbell, Satoshi Omura et Youyou Tu.
AFP PHOTO / JONATHAN NACKSTRAND
Trois lauréats se partagent cette année le prix Nobel de médecine. L'Irlandais William Campbell, le Japonais Satoshi Omura et la Chinoise Youyou Tu. Ils sont récompensés pour avoir découvert de nouveaux traitements contre les infections parasitaires et le paludisme.
Coup d'envoi à Stockholm de la saison des prix Nobel qui honorent chaque automne chercheurs, écrivains et artisans de la paix. Ce lundi 5 octobre, le prix Nobel de physiologie ou médecine a été attribué à William Campbell et Satoshi Omura pour « leurs travaux sur un nouveau traitement contre les infections causées par des vers » et Youyou Tu pour « ses découvertes concernant une nouvelle thérapie contre le paludisme ».
Les lauréats « ont développé des thérapies qui ont révolutionné le traitement de certaines des maladies parasitaires les plus dévastatrices », a déclaré l'assemblée du Nobel à l'institut Karolinska en Suède dans un communiqué. Le prix Nobel de physiologie ou médecine est d'un montant de 850 000 euros. L'Irlandais William Campbell, le Japonais Satoshi Omura en remportent la moitié et sont récompensés pour leurs travaux portant sur une nouvelle thérapie contre les infections causées par les parasites ascaris. Il s’agit d’un parasite qui touche l’instestin humain et animal et plus spécifiquement dans les zones tropicales.
Douzième femme récompensée
Youyou Tu, 84 ans, remporte l'autre moitié de ce prix. La chercheuse chinoise était depuis longtemps pressentie pour recevoir la récompense, pour sa découverte d'un traitement particulièrement efficace contre le paludisme grâce à un extrait de la plante armoise annuelle plus connue sous le nom d'artémisinine. Elle est la douzième femme à être récompensée par le Nobel de médecine depuis la création du prix en 1901.
Mardi, ce sont les chercheurs en physique qui seront à l'honneur, mercredi, le prix Nobel de chimie sera décerné, jeudi, celui de littérature, et vendredi le très attendu Nobel de la paix. Le 12 octobre, le prix Nobel de l'économie clôturera la saison 2015.
jeudi 1 octobre 2015
IRAN ARABIE SAOUDITE ISLAM ALI KHAMENEI
Bousculade de La Mecque: l’Iran détient le triste record des victimes
Par HMI Publié le 01-10-2015 Modifié le 01-10-2015 à 14:49
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Des secouristes saoudiens transportent le corps de l'une des victimes recensées de la bousculade à Mina, à La Mecque, le 24 septembre 2015.
REUTERS/Stringer
Une semaine après le drame du Hajj à La Mecque, les autorités iraniennes ont revu à la hausse le bilan des victimes, qui dépasse désormais les 460 personnes pour l'Iran uniquement.
Avec notre correspondant à Téhéran, Siavosh Ghazi
Depuis plusieurs jours, les responsables iraniens avaient préparé la population en affirmant qu'il y avait peu de chances qu'il y ait des survivants parmi les pèlerins disparus. Désormais, le bilan des victimes atteint 464 morts. Il pourrait encore augmenter car la plupart des disparus sont probablement morts. Selon les autorités iraniennes, la bousculade du 24 septembre a fait plus de 4 000 morts parmi tous les pèlerins de différentes nationalités.
Téhéran a violemment protesté contre l'attitude des responsables saoudiens, notamment pour aider les blessés. Et Téhéran exige le rapatriement des corps des victimes, ce que Riyad a finalement accepté après les menaces du guide suprême iranien, l'ayatollah Ali Khamenei.
Contrairement à l'Iran, les autres pays musulmans ont accepté que les corps de leurs pèlerins soient enterrés en Arabie saoudite. Parmi les disparus et les morts, il y a plusieurs officiels iraniens, notamment l'ex-ambassadeur au Liban, qui était une personnalité importante. Le Liban est une place stratégique pour Téhéran, à cause des liens avec le Hezbollah libanais, la situation en Syrie et la proximité d'Israël.
Jeanlouiswilly13@yahoo.fr
lundi 28 septembre 2015
ONU | France | Diplomatie | Union africaine | Afrique du Sud | Inde
Réformer le Conseil de sécurité de l'ONU: l'impossible mission?
Par RFI Publié le 28-09-2015 • Modifié le 28-09-2015 à 09:13
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Pour l'heure le Conseil de sécurité de l'ONU compte quinze membres, dont cinq permanents qui disposent d'un droit de veto.
REUTERS/Lucas Jackson
La 70e Assemblée générale des Nations unies s’ouvre ce lundi à New York avec ce serpent de mer qui court presque depuis sa création en 1945 et qui n’avance pas : la réforme du Conseil de sécurité. Mais l’Assemblée générale de l’ONU a prévu d'en débattre lors de cette nouvelle session.
La réforme est particulièrement défendue par le G4 – Inde, Allemagne, Japon et Brésil – qui souligne que depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, le monde a changé et que le Conseil de sécurité doit refléter ces changements. Les quatre pays avancent leur poids économique. Et l’Inde ajoute qu’elle fournit un tiers des casques bleus.
Actuellement, le Conseil comporte quinze membres, dont cinq permanents avec droit de veto (France, Etats-Unis, Royaume-Uni, Chine, Russie). Le G4 propose un Conseil de 25 membres, dont six sièges permanents supplémentaires sans droit de veto auxquels chacun d’entre eux postule.
L’Union africaine fait elle valoir le nombre d’habitants sur le continent et demande au moins deux sièges avec droit de veto. En 2010, Paris avait promis de défendre cette position, mais la France se méfie car, comme le Royaume-Uni, elle pourrait perdre d’ici quelques années son siège au profit d’un éventuel représentant de l’Union européenne.
D’autres pays bloquent cette idée de sièges permanents supplémentaires car ils savent qu’ils ont peu de chance de les obtenir. Ils plaident donc uniquement pour un élargissement des membres non permanents. C’est d’ailleurs à la création de quatre sièges supplémentaires pour des non permanents que la dernière réforme avait abouti en 1963.
■ L'Afrique du Sud veut son siège de membre permanent
L'Afrique du Sud, qui sera présente à l’Assemblée générale de l’ONU, fait partie des pays qui appellent depuis longtemps une réforme de leurs vœux. Le pays convoite un siège de membre permanent au Conseil de sécurité et ses appels se font de plus en plus pressants. La semaine dernière, le président Jacob Zuma a rappelé que le continent africain comptait plus d'un milliard d'habitants qui ne sont pas représentés de façon permanente au Conseil de sécurité.
Un appel qui se fait l'écho de la position de l'Union africaine qui pousse pour obtenir deux sièges permanents. Mais l'Afrique n'est pas la seule à convoiter une place. C'est également le cas de l'Inde, du Brésil, du Japon. Et puis l'Afrique du Sud a également de la concurrence : le Nigeria, première économie du continent et pays le plus peuplé d'Afrique.
Cependant, ces deux pays pourraient voir leur ambition contrée par le Zimbabwe. Selon le président Robert Mugabe, ni le Nigeria, ni l'Afrique du Sud ne méritent de représenter l'Afrique à l'ONU. Il estime que tous deux ont trahi le continent il y a quatre ans en votant une résolution de l'ONU autorisant des frappes militaires contre la Libye de Mouammar Kadhafi. Jeanlouiswilly13@yahoo.fr
Israël | Territoires Palestiniens
Jérusalem: heurts et tensions sur l'esplanade des Mosquées
Par RFI Publié le 28-09-2015 • Modifié le 28-09-2015 à 13:44
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De nouveaux affrontements sur l'esplanade des Mosquées à Jérusalem entre de jeunes Palestiniens et des policiers israéliens ont eu lieu ce lundi 28 septembre 2015.
AFP PHOTO / THOMAS COEX
En Israël, une nouvelle semaine sous tension s’ouvre avec le début de la fête juive de Souccot. A Jérusalem, des heurts ont encore éclaté ce lundi 28 septembre autour de l'esplanade des Mosquées entre la police israélienne et de jeunes palestiniens. Une touriste a été blessée. Les journalistes ont été priés de quitter la vieille ville de manière parfois musclée.
Avec notre correspondante à Jérusalem, Murielle Paradon
Tout a commencé ce lundi 28 septembre au matin à 7 heures sur l’esplanade des Mosquées. Des jeunes Palestiniens et des policiers israéliens se sont affrontés longuement. Les Palestiniens protestent contre les visites répétées de juifs religieux sur le lieu saint, visites démultipliées pendant ces fêtes de Souccot.
Les musulmans dénoncent les velléités de certains juifs extrémistes de s’approprier l’esplanade des Mosquées qui est le troisième lieu saint de l’islam. On note beaucoup de tensions dans la vieille ville de Jérusalem. Des femmes musulmanes ont manifesté aux cris de « Dieu est le plus grand » lorsque des juifs religieux passaient devant elles. Du coup, ces femmes ont été interdites d’esplanade des Mosquées.
La police israélienne a dispersé plusieurs fois les protestataires, ainsi que des jeunes, même si aucune pierre n’a été lancée. La dispersion s’est passée à coups de gaz lacrymogène et de grenades assourdissantes ; tout cela dans les ruelles de la vieille ville. Plusieurs personnes ont été légèrement blessées dont une touriste, des touristes choqués et effrayés pour certains. Les journalistes quant à eux ont été priés de quitter la vieille ville, de manière parfois musclée.
Haiti Monde Info Jeanlouiswilly13@yahoo.fr
samedi 26 septembre 2015
Haïti - Économie : Les premières bananes haïtiennes sont arrivées en Europe
26/09/2015 09:02:34
Haïti - Économie : Les premières bananes haïtiennes sont arrivées en Europe La cargaison de 100 tonnes de banane bio haïtienne (environs 8,000 régimes) de la compagnie AGRITRANS, chargée à bord du « Crown Garnet », le 8 septembre au Cap-Haïtien est arrivée au quai 212 du Port International d’Anvers (Belgique).
À cette occasion, étaient présent le Dr Frantz Bataille, Chargé d’Affaires à Berlin et Dominique Dejean, Ministre Conseiller près l’Ambassade d’Haïti en Allemagne, Mme Huguette Hérard von Raussendorf, Chargée d’Affaires à Bruxelles, Felio Joseph Conseiller et Georges Duroseau Premier Secrétaire à l'Ambassade d’Haïti en Belgique.
Les premières caisses de banane défilant sur un tapis roulant, ont été un moment de fierté et d’émotion ponctués d’applaudissements par les délégations présentent, ainsi que le PDG du Port International et de son directeur de contrôle de qualité. Le personnel diplomatique a observé les techniques de contrôle de qualité, effectués par le personnel du Port sur la cargaison de bananes haïtiennes.
Après le déchargement et contrôle des bananes les différents acteurs diplomatique et de la direction du Port d'Anvers ont porté un toast pour célébrer le retour de la banane d’Haïti sur le marché international, après 60 ans.
Lire aussi :
http://www.haitilibre.com/article-12257-haiti-agriculture-$27m-pour-la-production-de-bananes-destinees-a-l-exportation.html
http://www.haitilibre.com/article-9908-haiti-economie-grands-projets-strategiques-de-la-region-nord.haiti
Haiti Monde Info
mercredi 23 septembre 2015
Haïti - Diplomatie : Nouvel ambassadeur de l’Union Européenne en Haïti
23/09/2015 11:38:34
Haïti - Diplomatie : Nouvel ambassadeur de l’Union Européenne en Haïti Mardi, au Palais National, le Président Michel Martelly, a reçu les lettres de créances du nouvel ambassadeur de l’Union Européenne en Haïti, Vincent Degert, qui remplace à ce poste l’Ambassadeur Javier Niño Pérez en fin de mission http://haitimondeinfo/article-14475-haiti-diplomatie-l-ambassadeur-javier-nino-perez-decore-de-l-ordre-national.html
Le nouvel Ambassadeur a réitéré l’engagement de l'Union Européenne à accompagner et à supporter la République d'Haïti en assurant le suivi des divers projets déjà en cours d'exécution un peu partout sur le territoire. Vincent Degert a par ailleurs confié, qu'il était impatient de se mettre au travail pour apporter sa contribution aux efforts de renforcement des liens de coopération entre l'Union Européenne et Haïti.
De son côté, le Chef de l’État l'a rassurés de sa volonté et de l'entière disposition de son Administration à travailler en vue de faciliter la matérialisation des objectifs fixés entre l'UE et son pays et renforcer les liens d’amitié et de coopération entre Haïti et l'Union Européenne.
Par la suite le nouvel Ambassadeur de l’Union Européenne en Haïti, a effectué une offrande florales au Musée du Panthéon National Haïtien (MUPANAH) en l’honneur des Pères de la Patrie. Ensuite, Mme Michèle Frisch, la Directrice du Musée a invité le nouveau diplomate Européen à visiter les salles d’expositions permanentes et temporaires du musée. Jeanlouiswilly13@yahoo.fr
mardi 22 septembre 2015
https://www.facebook.com/barackobama/videos/vb.6815841748/10153383413541749/?type=2&theater
"America is great right now—not because of our government, or our wealth, or our power, but because of everyone who works hard every day to move this country forward. Now Congress needs to work as hard as you do." —President Obama
Arabie saoudite Religion EI
Arabie saoudite: la menace du coronavirus et de l’EI plane sur le hadj
Par HMI
Des pèlerins arrivent à la Grande mosquée de La Mecque le 21 septembre 2015.AFP PHOTO / MOHAMMED AL-SHAIKH
Le grand pèlerinage à La Mecque débute ce mardi en Arabie saoudite. Près de quatre millions de pèlerins y sont attendus. Le hadj est d'ores et déjà endeuillé suite au tragique accident de la grue qui s’est effondrée sur la Grande mosquée, vendredi 11 septembre. Les autorités saoudiennes vont devoir relever deux défis principaux durant cet évènement : contenir l’épidémie du coronavirus et la menace du groupe Etat islamique.
Avec notre correspondante à Riyad, Clarence Rodriguez
En Arabie saoudite, 100 000 agents des forces de l’ordre sont sur le pied-de-guerre. Ils doivent assurer la sécurité de quatre millions de pèlerins. C’est trois fois plus que les années précédentes. Les unités des forces spéciales et antiterroristes sont renforcées par la Garde nationale et l’armée.
C’est un dispositif exceptionnel pour faire face à la menace de l'organisation jihadiste auteur ces derniers mois de plusieurs attentats contre les mosquées chiites dans le royaume. D’après des experts dans la région : « Le groupe Etat islamique pourrait utiliser le hadj pour recruter et disséminer son message. » Mohamed Bin Nayef, ministre de l’Intérieur, a d’ores et déjà prévenu que « les manifestations à caractère politique sont strictement interdites ».
L'autre menace qui plane sur le pèlerinage est le risque d'épidémie du coronavirus. Le ministère de la Santé a en effet diligenté 25 000 agents dans les 65 centres médicaux installés dans les villes Saintes, Médine et La Mecque. Entre crainte et ferveur, des millions de fidèles prient pour que ce grand pèlerinagese passesous les meilleurs auspices. Jeanlouiswilly13@yahoo.fr
En Arabie saoudite, 100 000 agents des forces de l’ordre sont sur le pied-de-guerre. Ils doivent assurer la sécurité de quatre millions de pèlerins. C’est trois fois plus que les années précédentes. Les unités des forces spéciales et antiterroristes sont renforcées par la Garde nationale et l’armée.
C’est un dispositif exceptionnel pour faire face à la menace de l'organisation jihadiste auteur ces derniers mois de plusieurs attentats contre les mosquées chiites dans le royaume. D’après des experts dans la région : « Le groupe Etat islamique pourrait utiliser le hadj pour recruter et disséminer son message. » Mohamed Bin Nayef, ministre de l’Intérieur, a d’ores et déjà prévenu que « les manifestations à caractère politique sont strictement interdites ».
L'autre menace qui plane sur le pèlerinage est le risque d'épidémie du coronavirus. Le ministère de la Santé a en effet diligenté 25 000 agents dans les 65 centres médicaux installés dans les villes Saintes, Médine et La Mecque. Entre crainte et ferveur, des millions de fidèles prient pour que ce grand pèlerinagese passesous les meilleurs auspices. Jeanlouiswilly13@yahoo.fr
Haïti - Sécurité : L'Europe soutien la réduction des risques dans les Caraïbes 22/09/2015 12:24:28 Afin de répondre à cette situation de plus en plus préoccupante, le service de la Commission européenne à l'aide humanitaire et à la protection civile (ECHO) et ses partenaires, le Bureau des Nations unies pour la réduction des risques de catastrophe (UNISDR) et la Fédération internationale des sociétés de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge, sont réunit à Santo Domingo, en République dominicaine (21 au 23 septembre), aux côtés de parties prenantes et promoteurs régionaux et nationaux de Réduction des Risques de Catastrophe (RRC), dans le cadre d'un atelier de planification. Notons que depuis 1994, l'aide financière allouée par la Commission européenne aux Caraïbes a atteint un total de 488,3 millions d’euros dont 68% de ce montant (332 millions d’euros) ont été consacrés à Haïti, notamment pour contribuer à la réponse apportée au séisme de janvier 2010, à l'épidémie de choléra, à l'insécurité alimentaire et pour organiser une préparation aux aléas naturels majeurs. Les 156 millions restants ont été investis dans une aide humanitaire pour les Caraïbes, pour soutenir les efforts de réponse aux urgences et les activités de préparation aux risques naturels. ECHO contribue, depuis 2005, à la confirmation de la mise en œuvre du Cadre de Sendai pour la réduction des risques pour la période 2015-2030, comme ce fut déjà le cas avec le programme précédent (Cadre d'action de Hyogo). ECHO a également mis au point des outils et procédés essentiels, permettant de renforcer la direction des systèmes de gestion des risques, leurs capacités de planification des urgences et la définition des priorités en matière de RRC. Cet atelier devrait favoriser la coordination, l'échange et les synergies entre partenaires, projets et alliés du plan RRC DIP (DIsaster Preparedness) ECHO pour les Caraïbes pour 2015-2016, dans les nombreux pays de la région. En vue d'articuler une vision coordonnée des procédés de RRC, les tables rondes suivantes se concentreront sur : les scénarios internationaux, régionaux et nationaux en matière de RRC ; la traduction des cadres mondiaux en interventions de terrain ; les systèmes d'alerte précoce et la communication relative à la RRC. L'atelier a pour objectif de mettre au point des mécanismes de conception d'une approche commune pour les Caraïbes. Des projets de RRC y seront analysés et coordonnés, de sorte à faire perdurer le soutien apporté aux institutions locales et nationales en charge de la gestion des risques de catastrophe. Haiti Monde Info Jeanlouiswilly13@yahoo.fr |
Haïti - Actualité : Zapping électoral...
22/09/2015 13:26:17
Résultats du premier tour des législatives... :
Les résultats définitifs des élections législatives du 9 août dernier, pour 4 départements (Nord, Nord-Est, Nord-Ouest et Sud-Ouest - Grande Anse) pourraient être publié ce mardi 22 septembre, selon la Conseillère électorale Lourdes Edith Delouis. Toutefois, le reste des résultats devrait attendre la fin de semaine avant d’être connu selon Me Néhémy Joseph, Conseiller Électoral qui déclare « En milieu de semaine, les juges électoraux achemineront leurs jugements au CEP pour qu’il puisse harmoniser les résultats préliminaires aux résultats définitifs » précisant que 48 heures au moins sont nécessaire au CEP pour leur publication officielle. À suivre...
Aristide fera une déclaration en public... :
Lundi, le coordonnateur de campagne de Fanmi Lavalas, Yvon Feuillé, a confirmé que l’ancien Président Jean-Bertrand Aristide sera bel et bien aux côtés de la candidate à la présidence de Fanmi Lavalas, le Dr Maryse Narcisse. Affirmant que le leader de Fanmi Lavalas fera une déclaration en faveur de Maryse Narcisse avant le 25 octobre. Une information confirmée par Shiller Louidor, membre de la Commission de communication du parti « Oui. Jean-Bertrand Aristide sera bien là. Le Président Aristide n’a jamais abandonné le navire dans les bons comme dans les mauvais temps. Il sortira de son mutisme avant le 25 octobre ».
Lancement officiel de la campagne de « Bouclier » :
Lundi Steve Khawly, candidat à la Présidence pour la bannière de la plateforme « Bouclier » a lancé officiellement sa campagne au Ciné-théâtre triomphe. De nombreux militants avaient fait le déplacement voir le candidat présenter son programme qui repose sur 3 axes : la réforme de l’État, le développement économique et le développement social. Par ailleurs Steve Khawly a démenti les informations selon lesquelles le Président Martelly lui aurait demandé de se désister au profit du candidat du parti présidentiel PHTK.
Lavalas dément les rumeurs du décès de Jean-Bertrand Aristide :
Ansyto Félix, de la Commission de Mobilisation Lavalas, a démenti les rumeurs qui ont circulé sur Internet le week-end dernier relatives au décès de l’ex-président Jean-Bertrand Aristide, pointant du doigt un secteur qui, selon lui souhaite que la population végète toujours dans les ténèbres...
Haiti Monde Info Jeanlouiswilly13@yahoo.fr
22/09/2015 13:26:17
Haitimondeinfo |
Les résultats définitifs des élections législatives du 9 août dernier, pour 4 départements (Nord, Nord-Est, Nord-Ouest et Sud-Ouest - Grande Anse) pourraient être publié ce mardi 22 septembre, selon la Conseillère électorale Lourdes Edith Delouis. Toutefois, le reste des résultats devrait attendre la fin de semaine avant d’être connu selon Me Néhémy Joseph, Conseiller Électoral qui déclare « En milieu de semaine, les juges électoraux achemineront leurs jugements au CEP pour qu’il puisse harmoniser les résultats préliminaires aux résultats définitifs » précisant que 48 heures au moins sont nécessaire au CEP pour leur publication officielle. À suivre...
Aristide fera une déclaration en public... :
Lundi, le coordonnateur de campagne de Fanmi Lavalas, Yvon Feuillé, a confirmé que l’ancien Président Jean-Bertrand Aristide sera bel et bien aux côtés de la candidate à la présidence de Fanmi Lavalas, le Dr Maryse Narcisse. Affirmant que le leader de Fanmi Lavalas fera une déclaration en faveur de Maryse Narcisse avant le 25 octobre. Une information confirmée par Shiller Louidor, membre de la Commission de communication du parti « Oui. Jean-Bertrand Aristide sera bien là. Le Président Aristide n’a jamais abandonné le navire dans les bons comme dans les mauvais temps. Il sortira de son mutisme avant le 25 octobre ».
Lancement officiel de la campagne de « Bouclier » :
Lundi Steve Khawly, candidat à la Présidence pour la bannière de la plateforme « Bouclier » a lancé officiellement sa campagne au Ciné-théâtre triomphe. De nombreux militants avaient fait le déplacement voir le candidat présenter son programme qui repose sur 3 axes : la réforme de l’État, le développement économique et le développement social. Par ailleurs Steve Khawly a démenti les informations selon lesquelles le Président Martelly lui aurait demandé de se désister au profit du candidat du parti présidentiel PHTK.
Lavalas dément les rumeurs du décès de Jean-Bertrand Aristide :
Ansyto Félix, de la Commission de Mobilisation Lavalas, a démenti les rumeurs qui ont circulé sur Internet le week-end dernier relatives au décès de l’ex-président Jean-Bertrand Aristide, pointant du doigt un secteur qui, selon lui souhaite que la population végète toujours dans les ténèbres...
Haiti Monde Info Jeanlouiswilly13@yahoo.fr
[En Direct] Macky Sall: «Il y a urgence à agir» Par HMI
Le président sénégalais Macky Sall s'est exprimé avant l'ouverture du sommet de la Cédéao consacré à la crise au Burkina Faso, ce 22 septembre 2015.AFP PHOTO / SEYLLOU
Un sommet consacré à la situationde crise au Burkina Faso se poursuit à Abuja ce mardi 22 septembre. Plus tôt dans la matinée, le Premier ministre de la transition Isaac Zida, aux mains des putschistes depuis le coup d'Etat, a été libéré. De leur côté, des soldats de l'armée burkinabè, qui soutiennent la transition, sont entrés dans la nuit du lundi au mardi dans Ouagadougou. Ils ont posé un ultimatum aux putschistes qui n'y ont pas répondu. Ci-dessous, notre direct. Les informations sont données en temps universel (TU), deux heures de moins qu'à Paris.
Article mis à jour régulièrement. Cliquer ici pour rafraîchir
Edition spéciale : pour suivre les derniers événements et les dernières analyses sur la situation au Burkina Faso 18h00 - 19h00 (TU)
16h45 : Par la voix de son commissaire paix et sécurité, Smaïl Chergui, l'Union africaine fait savoir qu'elle conserve sa position ferme à l'égard des auteurs du coup d'Etat. À savoir qu'il n'y a pas d'autres voies pour les putschistes que de se rendre sans conditions. « Nous espérons que ceux qui sont derrière ce coup, y compris le général Gilbert Diendéré, puissent se ressaisir et se soumettre.» Ils doivent selon lui « organiser leur reddition dans des conditions dignes et indiscutables ». Smaïl Chergui rappelle également que le Conseil de paix et de sécurité (CPS) de l'UA a demandé d'établir une liste de tous les putschistes, et que « s'ils ne répondent pas à l'appel du CPS, ils seront considérés comme des terroristes ». Enfin, le commissaire a tenu à saluer l'action du chef d'état-major burkinabè, le général Zagré, dans cette crise, après ses différents messages d'apaisement et sa volonté de tout faire pour éviter l'affrontement.
Jeanlouiswilly13@yahoo.fr
Edition spéciale : pour suivre les derniers événements et les dernières analyses sur la situation au Burkina Faso 18h00 - 19h00 (TU)
16h45 : Par la voix de son commissaire paix et sécurité, Smaïl Chergui, l'Union africaine fait savoir qu'elle conserve sa position ferme à l'égard des auteurs du coup d'Etat. À savoir qu'il n'y a pas d'autres voies pour les putschistes que de se rendre sans conditions. « Nous espérons que ceux qui sont derrière ce coup, y compris le général Gilbert Diendéré, puissent se ressaisir et se soumettre.» Ils doivent selon lui « organiser leur reddition dans des conditions dignes et indiscutables ». Smaïl Chergui rappelle également que le Conseil de paix et de sécurité (CPS) de l'UA a demandé d'établir une liste de tous les putschistes, et que « s'ils ne répondent pas à l'appel du CPS, ils seront considérés comme des terroristes ». Enfin, le commissaire a tenu à saluer l'action du chef d'état-major burkinabè, le général Zagré, dans cette crise, après ses différents messages d'apaisement et sa volonté de tout faire pour éviter l'affrontement.
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Migrants: le travail de la Croix-Rouge entravé par le chaos politique
Par HMI
Près de 10 700 migrants sont arrivée à la frontier austro-hongroise, dimanche 20 septembre.
L'absence de communication entre les autorités hongroises et autrichiennes complique le travail de la Croix-Rouge. Exemple au poste-frontière de Heiligenkreuz-am-Lefnitztal, au sud-est de l'Autriche, dans la région du Burgenland, dirigée par une coalition entre la gauche (SPÖ) et l'extrême droite (FPÖ). Selon certains bénévoles, tout repose pratiquement sur leur bonne volonté et ils regrettent qu'aucune décision n'ait encore été prise au niveau européen.
Avec notre envoyé spécial à la frontière austro-hongroise, Blaise Gauquelin
La Croix-Rouge autrichienne nettoie le camp qui vient d'être quitté par un groupe de 200 migrants. Il y avait des Syriens, des Irakiens, des Afghans, mais aussi quelques Nigérians. Ils ont dormi dans ce camp provisoire, un camp érigé il y a trois jours dans une ancienne jardinerie désaffectée située dans une zone commerciale de la périphérie de Graz, la deuxième ville d’Autriche.
Une fois le groupe parti, il faut faire l'inventaire des provisions. Une tâche difficile, selon les bénévoles, quand on ne sait pas quand, ni combien de personnes vont de nouveau bientôt passer la frontière : « On a très peu d'informations qui proviennent des autorités hongroises. On est toujours en stand-by. On doit être prêt à tout moment, car il est tout à fait possible que 3 000 à 4 000 réfugiés arrivent dans l'heure qui suit. »
Moments de tension
La crise dure désormais depuis plus de 15 jours et on sent clairement une inquiétude dans les rangs des bénévoles. Il y a des moments de tension qui sont dus à la fatigue. L'Autriche compte quelque 8 millions d’habitants seulement. Tous les regards se tournent vers les hommes et les femmes politiques. Ils sont sévèrement jugés pour leur incapacité à trouver une solution.
L'accueil des migrants semble reposer entièrement sur les ONG, ainsi que sur la société civile. « Ce n'est pas la police qui fait tout le boulot ici. C'est la Croix-Rouge, ce sont les bénévoles. Sans nous, rien ne marcherait ici », explique un civil présent sur place.
Du côté hongrois, ce bénévole regrette aussi que chaque pays organise le transfert des migrants sans coordination : « La peur, voilà le problème ! Personne ne cherche de solutions. Les gens préfèrent regarder ailleurs. » Qu'ils soient Hongrois ou Autrichiens, les bénévoles ne s'attendent pas à un changement rapide.
La Croix-Rouge autrichienne nettoie le camp qui vient d'être quitté par un groupe de 200 migrants. Il y avait des Syriens, des Irakiens, des Afghans, mais aussi quelques Nigérians. Ils ont dormi dans ce camp provisoire, un camp érigé il y a trois jours dans une ancienne jardinerie désaffectée située dans une zone commerciale de la périphérie de Graz, la deuxième ville d’Autriche.
Une fois le groupe parti, il faut faire l'inventaire des provisions. Une tâche difficile, selon les bénévoles, quand on ne sait pas quand, ni combien de personnes vont de nouveau bientôt passer la frontière : « On a très peu d'informations qui proviennent des autorités hongroises. On est toujours en stand-by. On doit être prêt à tout moment, car il est tout à fait possible que 3 000 à 4 000 réfugiés arrivent dans l'heure qui suit. »
Moments de tension
L'accueil des migrants semble reposer entièrement sur les ONG, ainsi que sur la société civile. « Ce n'est pas la police qui fait tout le boulot ici. C'est la Croix-Rouge, ce sont les bénévoles. Sans nous, rien ne marcherait ici », explique un civil présent sur place.
Du côté hongrois, ce bénévole regrette aussi que chaque pays organise le transfert des migrants sans coordination : « La peur, voilà le problème ! Personne ne cherche de solutions. Les gens préfèrent regarder ailleurs. » Qu'ils soient Hongrois ou Autrichiens, les bénévoles ne s'attendent pas à un changement rapide.
lundi 21 septembre 2015
Haïti - Politique : Le Club de Madrid vient soutenir Haïti
21/09/2015 11:39:40
Wim Kok, l’ancien Premier ministre des Pays-Bas, conduira la 6ème mission du Club de Madrid et de l’Union européenne en Haïti destinée à soutenir le processus électoral et le dialogue entre Haïti et la République dominicaine
Haïti fait actuellement face à deux défis de taille : un processus électoral complexe à grande échelle – avec des élections présidentielles, législatives et locales – et la nécessité de renouer un dialogue constructif, avec une vision globale et de long terme, avec la République dominicaine. Dans ce cadre, Wim Kok, ancien Premier ministre des Pays-Bas et ancien Président du Club de Madrid, dirigera la sixième mission du projet financé par l’UE « Promotion du dialogue pour la Réforme démocratique en Haïti », qui se tiendra du 21 au 23 septembre.
Le processus électoral dont le succès est essentiel pour consolider l’ordre démocratique et institutionnel a été marqué par des difficultés techniques, d’autres liées à la sélection des candidats ainsi que par des problèmes de sécurité. À ce jour, la campagne n’a pas été suffisamment consacrée aux propositions concrètes des candidats concernant les priorités nationales. Dans ce contexte, le Club de Madrid souhaite contribuer au débat en invitant les candidats à examiner ses propositions en matière de gouvernance démocratique, présentées dans le document « Recommandations aux candidats à la Présidence de la République en matière de gouvernance démocratique » telles que la réforme constitutionnelle, l’institutionnalisation des partis politiques, l’indépendance des institutions démocratiques, le renforcement de l’administration publique, l’amélioration de la gestion des finances publiques, la réforme fiscale et les relations bilatérales stratégiques avec la République dominicaine.
Lors des réunions bilatérales prévues dans le cadre de la mission, ce document sera remis aux autorités et institutions clés comme le Président Martelly et le Conseil Électoral Provisoire (CEP), ainsi que des candidats aux élections présidentielles issus des principaux patis et des acteurs de la communauté internationale.
Télécharger le document de recommandation (PDF) : http://www.haitilibre.com/docs/0074639_Club_de_Madrid-Folleto_8_pags_Haiti_V05.pdf
http:\\haitimondeinfo.blogspot.com\docs\00746 Club de Madrid-Folleto 8 pages Haiti VO5.pdf
Willy Jean-Louis Redacteur en chef..
Jeanlouiswilly13@yahoo.fr
21/09/2015 11:39:40
Haïti fait actuellement face à deux défis de taille : un processus électoral complexe à grande échelle – avec des élections présidentielles, législatives et locales – et la nécessité de renouer un dialogue constructif, avec une vision globale et de long terme, avec la République dominicaine. Dans ce cadre, Wim Kok, ancien Premier ministre des Pays-Bas et ancien Président du Club de Madrid, dirigera la sixième mission du projet financé par l’UE « Promotion du dialogue pour la Réforme démocratique en Haïti », qui se tiendra du 21 au 23 septembre.
Le processus électoral dont le succès est essentiel pour consolider l’ordre démocratique et institutionnel a été marqué par des difficultés techniques, d’autres liées à la sélection des candidats ainsi que par des problèmes de sécurité. À ce jour, la campagne n’a pas été suffisamment consacrée aux propositions concrètes des candidats concernant les priorités nationales. Dans ce contexte, le Club de Madrid souhaite contribuer au débat en invitant les candidats à examiner ses propositions en matière de gouvernance démocratique, présentées dans le document « Recommandations aux candidats à la Présidence de la République en matière de gouvernance démocratique » telles que la réforme constitutionnelle, l’institutionnalisation des partis politiques, l’indépendance des institutions démocratiques, le renforcement de l’administration publique, l’amélioration de la gestion des finances publiques, la réforme fiscale et les relations bilatérales stratégiques avec la République dominicaine.
Lors des réunions bilatérales prévues dans le cadre de la mission, ce document sera remis aux autorités et institutions clés comme le Président Martelly et le Conseil Électoral Provisoire (CEP), ainsi que des candidats aux élections présidentielles issus des principaux patis et des acteurs de la communauté internationale.
Télécharger le document de recommandation (PDF) : http://www.haitilibre.com/docs/0074639_Club_de_Madrid-Folleto_8_pags_Haiti_V05.pdf
http:\\haitimondeinfo.blogspot.com\docs\00746 Club de Madrid-Folleto 8 pages Haiti VO5.pdf
Willy Jean-Louis Redacteur en chef..
Jeanlouiswilly13@yahoo.fr
Burkina Faso: mobilisation dans les rues contre le projet de la Cédéao
Par HMI
A Ouagadougou, mobilisation contre le projet d'accord politique échafaudé ce week-end par une mission de médiation ouest-africaine après le coup d'Etat de la semaine dernière.AFP PHOTO / SIA KAMBOU
Au Burkina Faso, un projet d'accord politique a été échafaudé ce week-end par une mission de médiation ouest-africaine après le coup d'Etat de la semaine dernière. Ce qui est recommandé dans ce document, c’est le retour du président Michel Kafando et des principales institutions de la transition, le maintien des élections présidentielle et législatives auxquelles pourront prendre part les proches de l'ancien président Blaise Compaoré dont le dossier de candidature avait été rejeté. Le texte prévoit également une amnistie pour tous ceux impliqués dans le coup d'Etat. Ce projet continue de faire réagir les Burkinabè avec de nouvelles manifestations ce lundi.
Ce lundi, les manifestations ont repris dans certains quartiers de Ouagadougou. Les rues sont toujours barricadées par des pneus enflammés par des manifestants anti-coup d’Etat. Le boulevard Charles-de-Gaulle, par exemple, est paralysé. A chaque intervalle de 500 mètres, il y a un barrage. Dans plusieurs quartiers, des jeunes manifestent leur colère contre ce qu’ils appellent la trahison de la Cédéao.
« Nous tenons la Cédéao pour responsable de tout ce qui pourrait arriver au Burkina Faso », vocifère un jeune le visage noircit par du charbon. « Nous sommes sortis ce matin pour faire notre travail », dit celui qui semble être un des meneurs sur le boulevard Charles-de-Gaulle. A la question de savoir quel est son travail, il répond : « Nous barricadons tout le quartier. Le RSP ne doit pas accéder à notre quartier ».
Alors certains jeunes ont déclaré qu’ils dressent des barricades pour empêcher les soldats du Régiment de sécurité présidentielle de pénétrer dans les quartiers parce que les balles tirées en l’air blessent ou tuent toujours des enfants. Peux eux, il faut empêcher les véhicules de patrouille d’accéder aux quartiers.
« Nous tenons la Cédéao pour responsable de tout ce qui pourrait arriver au Burkina Faso », vocifère un jeune le visage noircit par du charbon. « Nous sommes sortis ce matin pour faire notre travail », dit celui qui semble être un des meneurs sur le boulevard Charles-de-Gaulle. A la question de savoir quel est son travail, il répond : « Nous barricadons tout le quartier. Le RSP ne doit pas accéder à notre quartier ».
Alors certains jeunes ont déclaré qu’ils dressent des barricades pour empêcher les soldats du Régiment de sécurité présidentielle de pénétrer dans les quartiers parce que les balles tirées en l’air blessent ou tuent toujours des enfants. Peux eux, il faut empêcher les véhicules de patrouille d’accéder aux quartiers.
Willy Jean-Louis,Redacteur en chef HMI.
Iran Hassan Rohani Etats-Unis Nucléaire Barack Obama AIEA
Sur CBS News, Hassan Rohani vante le Rapprochement irano-américain
Par HMI ,
Le president iranien Hassan Rohani invité de Steve Kroft pour CBS News, dimanche 20 septembre 2015. Capture d'écran / CBSNews
Le président iranien estime que le Parlement de son pays ratifiera l’accord sur le nucléaire signé à Vienne en juillet dernier. Hassan Rohani était, dimanche 20 septembre 2015, l’invité de la chaine CBS News pour l’émission « 60 minutes ». Un entretien enregistré à Téhéran, dans lequel le chef de l’Etat estime que les relations entre les Etats-Unis et l’Iran sont sur la bonne voie.
Avec notre correspondante à Washington, Anne-Marie Capomaccio
« Lorsque les manifestants crient " mort à l’Amérique ", ce n’est pas un slogan contre le peuple américain. » C’est Hassan Rohani qui s’exprime, dans un entretien accordé à la chaîne CBS. C’est ironique, le président iranien emploie à peu de choses près le langage de la Maison Blanche : « De profonds désaccords demeurent avec Washington malgré l’accord signé » ; « la confiance ne sera pas rétablie avant longtemps », explique-t-il.
Le président iranien fait ces déclarations avant de venir à New York, pour l’Assemblée générale de l’ONU, et à l’aube de la mise en œuvre de l’accord sur le nucléaire, qui vise à empêcher les Iraniens de construire une bombe. Enfin, Hassan Rohani ne souhaite pas parler d’échanges de prisonniers, mais il se déclare favorable, « pour des raisons humanitaires », à la libération des Américains détenus en Iran.
« Lorsque les manifestants crient " mort à l’Amérique ", ce n’est pas un slogan contre le peuple américain. » C’est Hassan Rohani qui s’exprime, dans un entretien accordé à la chaîne CBS. C’est ironique, le président iranien emploie à peu de choses près le langage de la Maison Blanche : « De profonds désaccords demeurent avec Washington malgré l’accord signé » ; « la confiance ne sera pas rétablie avant longtemps », explique-t-il.
Le président iranien fait ces déclarations avant de venir à New York, pour l’Assemblée générale de l’ONU, et à l’aube de la mise en œuvre de l’accord sur le nucléaire, qui vise à empêcher les Iraniens de construire une bombe. Enfin, Hassan Rohani ne souhaite pas parler d’échanges de prisonniers, mais il se déclare favorable, « pour des raisons humanitaires », à la libération des Américains détenus en Iran.
washington obtient la remise en liberté de ses quatre ressortissants, ce serait une excellente nouvelle pour la Maison Blanche, qui a eu du mal à convaincre son propre camp, le camp démocrate, de ne pas voter contre l’accord. Des réticences dues en grande partie au fait que la libération des prisonniers américains n’est pas mentionnée dans le texte signé à Vienne. Willy jeanLouis,Redacteur en chef Jeanlouiswilly13@yahoo.fr
vendredi 18 septembre 2015
Burkina Faso: une longue nuit de négociations en perspective
Le général putschiste burkinabè Gilbert Diendéré et le président de la Cédéao Macky Sall, à Ouagadougou,
Alors que l'Union africaine a
annoncé que le Burkina Faso est désormais suspendu de toutes les
instances au sein de l'organisation, le président sénégalais Macky Sall,
président en exercice de la Cédéao, et le président du Bénin, Boni
Yayi, sont à Ougadougou pour tenter une médiation. Ils doivent
rencontrer tous les acteurs de cette crise : société civile, partis
politiques, autorités de la transition, ainsi que les pustschistes.
Cet article est régulièrement actualisé,
Habituellement si riche et énergique, Ouagadougou est une ville éteinte. On lit sur le visage des rares passants la peur, l'inquiétude. Au loin, on peut apercevoir de longues colonnes de fumée. Ce sont des pneus que les manifestants opposés au coup d'Etat brûlent pour bloquer les rues. On entend également des tirs sporadiques d'armes automatiques, émanant, selon des témoins, d'éléments du Régiment de sécurité présidentiel, à l'origine du putsch du 16 septembre. Celui-ci veut éloigner la foule.
Macky Sall multiplie les rencontres
Cette crise burkinabè se joue aussi dans la suite 1006 de l'hôtel Laïko, suite où le président Macky Sall a engagé des concertations dès son arrivée. En ce moment, autour d'une grande table en bois sont réunis Jean-Baptiste Ouédraogo, l'ancien président, Mgr Paul Ouédraogo, archevêque de Bobo Dioulasso, le général Zagré, chef d'état-major des armées, ainsi que les représentants de la Cédéao, de l'Union africaine et des Nations unies, qui ont suivi le coup d'Etat depuis deux jours. Le président sénégalais souhaite un point de situation.
Dans la foulée, selon un programme diffusé par l'entourage de Macky Sall sont prévues des rencontres avec des partis politiques. On ne sait pas si des cadres du CDP, l'ancien parti au pouvoir de Blaise Compaoré, seront présents.
Puis avec la société civile. Le mouvement du Balai citoyen exige un retour de la transition présidée par Michel Kafando. Mais ses membres vivent cachés, ils ne se sentent pas en sécurité. Ce simple rendez-vous avec la présidence présente des risques, selon Me Guy Hervé Kham, porte-parole du Balai citoyen : « Cela comporte des risques, nous l'avons signifié aux autorités, parce que nous savons que l'hôtel est occupé par des éléments du régiment de sécurité présidentiel, et nous avons signifié à nos futurs que cela pouvait représenter un danger, et assurance nous a été donnée. Nous sommes là. On ne sait pas ce qui va se passer sur le chemin du retour. Nous avons les partenaires des amis du Burkina qui sont là. Nous leur disons de faire respecter l'ensemble des instruments qui régissent le fonctionnement des institutions. »
Les messages à Macky Sall des partis l'ex-opposition
Par la suite, une autre entrevue est prévue avec Chérif Sy, président du parlement de transition. Et enfin avec l'homme dont tout le monde parle ici, celui qui a en personne accueilli Macky Sall à l'aéroport à la mi-journée, le général Gilbert Diendéré, chef du Conseil national pour la démocratie (CNT). Autant dire que la nuit s'annonce très longue pour les négociateurs et très compliquée car les divergences sont immenses.
De leur côté, les partis politiques de l'ex-opposition à Blaise Compaoré se sont concertés hier et aujourd'hui. Ils réclament de nouveau le rétablissement des institutions de la transition, l'arrêt de la répression et des attaques menées contre les médias par le RSP. Tel est le message qu'ils ont prévu de transmettre au président sénégalais Macky Sall.
« Le président Macky Sall a été le facilitateur qui a permis l'élaboration d'une charte de la transition, rappelle Benewendé Sankara, candidat au scrutin du 11 octobre pour le parti UNIR-PS. Concrètement, nous souhaitons que Macky Sall arrive à convaincre les militaires que leur place n'est pas au coeur de la présidence du Faso. Leur place n'est pas d'attenter à la charte de la transition, au traité de la Cédéao et à la charte de l'Union africaine. Je ne pense pas que l'on puisse être complice de ceux qui portent atteinte à l'ordre constitutionnel . Je me dis que Macky Sall ne va pas être complice de cela. Il est très attaché à la démocratie, il connaît bien sûr les règles démocratiques qui gouvernent la paix et la cohésion sociale pour ne pas créer une injustice dans une injustice. »
Habituellement si riche et énergique, Ouagadougou est une ville éteinte. On lit sur le visage des rares passants la peur, l'inquiétude. Au loin, on peut apercevoir de longues colonnes de fumée. Ce sont des pneus que les manifestants opposés au coup d'Etat brûlent pour bloquer les rues. On entend également des tirs sporadiques d'armes automatiques, émanant, selon des témoins, d'éléments du Régiment de sécurité présidentiel, à l'origine du putsch du 16 septembre. Celui-ci veut éloigner la foule.
Macky Sall multiplie les rencontres
Cette crise burkinabè se joue aussi dans la suite 1006 de l'hôtel Laïko, suite où le président Macky Sall a engagé des concertations dès son arrivée. En ce moment, autour d'une grande table en bois sont réunis Jean-Baptiste Ouédraogo, l'ancien président, Mgr Paul Ouédraogo, archevêque de Bobo Dioulasso, le général Zagré, chef d'état-major des armées, ainsi que les représentants de la Cédéao, de l'Union africaine et des Nations unies, qui ont suivi le coup d'Etat depuis deux jours. Le président sénégalais souhaite un point de situation.
Dans la foulée, selon un programme diffusé par l'entourage de Macky Sall sont prévues des rencontres avec des partis politiques. On ne sait pas si des cadres du CDP, l'ancien parti au pouvoir de Blaise Compaoré, seront présents.
Puis avec la société civile. Le mouvement du Balai citoyen exige un retour de la transition présidée par Michel Kafando. Mais ses membres vivent cachés, ils ne se sentent pas en sécurité. Ce simple rendez-vous avec la présidence présente des risques, selon Me Guy Hervé Kham, porte-parole du Balai citoyen : « Cela comporte des risques, nous l'avons signifié aux autorités, parce que nous savons que l'hôtel est occupé par des éléments du régiment de sécurité présidentiel, et nous avons signifié à nos futurs que cela pouvait représenter un danger, et assurance nous a été donnée. Nous sommes là. On ne sait pas ce qui va se passer sur le chemin du retour. Nous avons les partenaires des amis du Burkina qui sont là. Nous leur disons de faire respecter l'ensemble des instruments qui régissent le fonctionnement des institutions. »
Les messages à Macky Sall des partis l'ex-opposition
Par la suite, une autre entrevue est prévue avec Chérif Sy, président du parlement de transition. Et enfin avec l'homme dont tout le monde parle ici, celui qui a en personne accueilli Macky Sall à l'aéroport à la mi-journée, le général Gilbert Diendéré, chef du Conseil national pour la démocratie (CNT). Autant dire que la nuit s'annonce très longue pour les négociateurs et très compliquée car les divergences sont immenses.
De leur côté, les partis politiques de l'ex-opposition à Blaise Compaoré se sont concertés hier et aujourd'hui. Ils réclament de nouveau le rétablissement des institutions de la transition, l'arrêt de la répression et des attaques menées contre les médias par le RSP. Tel est le message qu'ils ont prévu de transmettre au président sénégalais Macky Sall.
« Le président Macky Sall a été le facilitateur qui a permis l'élaboration d'une charte de la transition, rappelle Benewendé Sankara, candidat au scrutin du 11 octobre pour le parti UNIR-PS. Concrètement, nous souhaitons que Macky Sall arrive à convaincre les militaires que leur place n'est pas au coeur de la présidence du Faso. Leur place n'est pas d'attenter à la charte de la transition, au traité de la Cédéao et à la charte de l'Union africaine. Je ne pense pas que l'on puisse être complice de ceux qui portent atteinte à l'ordre constitutionnel . Je me dis que Macky Sall ne va pas être complice de cela. Il est très attaché à la démocratie, il connaît bien sûr les règles démocratiques qui gouvernent la paix et la cohésion sociale pour ne pas créer une injustice dans une injustice. »
Willy Jean Louis, Redacteur en chef
Haïti - Politique : Réunion d’Evans Paul avec John Kerry
Jeudi à Washington D.C., le Premier Ministre d'Haïti Evans Paul et le
Secrétaire d'État américain John Kerry, ont donné une conférence de
presse conjointe, avant une réunion à huis clos.
« Bon après-midi, tout le monde. C'est un grand plaisir pour moi d'accueillir le Premier ministre d'Haïti, Evans Paul, et je suis impatient d'avoir une conversation avec lui sur les jours à venir, qui sont très critiques pour Haïti [...] il est impératif que les élections qui auront lieu en octobre soient un succès pour être en mesure de restaurer la capacité, pour être en mesure de continuer sur la lancée, parce que nous avons des enjeux majeurs sur lesquels nous devons continuer à travailler ensemble.
Donc, je suis impatient de parler au Premier ministre et établir notre programme de coopération au cours des prochains mois, et puis, bien sûr, bien au-delà. Nous avons le développement économique, le développement de la santé, de l'éducation, et des défis majeurs que nous devons aborder. Donc, Monsieur le Premier Ministre, soyez le bienvenu et je me réjouis de notre conversation, » a déclaré John Kerry.
« [...] Je suis ravi d'être accueilli par le Secrétaire d'État, M. Kerry. Je suis venu en tant que Premier Ministre d'Haïti dans le cadre des relations amicales, historiques et cordiales qui ont toujours existé entre nos deux pays, les États-Unis et Haïti.
Je suis Premier Ministre dans le contexte où ma tâche principale est de créer des conditions favorables pour organiser des élections inclusives cruciales. Nous avons eu un premier tour des élections le 9 Août, qui a eu lieu avec quelques problèmes. Nous sommes conscients de ces problèmes, et nous sommes déterminés à corriger ces problèmes en octobre lors du second tour, ainsi que le premier tour de l'élection présidentielle.
Ce qui importe le plus pour nous dans le gouvernement est, tout d'abord, de vous dire merci les États-Unis, parce que vous avez toujours contribué. Vous avez contribué à nous permettre d'avoir les atouts économiques pour organiser ces élections. Mais, nous vous demandons de continuer à nous soutenir en termes de sensibilisation, de prise de conscience national de l'audience internationale.
Nous avons un seul but, une seule option, à savoir organiser des élections pour garantir qu'Haïti puisse continuer sur la voie du changement démocratique. Ce que nous voulons et que nous avons décidé est que l'année prochaine, en janvier 2016 nous aurons un Parlement démocratiquement élu et le 7 Février, nous aurons un nouveau Président démocratiquement élu.
Voilà ce que nous voulons et espérons, c'est que nos partenaires, tels que les États-Unis, serons là pour nous soutenir en vue de permettre à Haïti de créer les conditions favorables pour le développement de ses habitants, » a déclaré le Premier Ministre Paul.
« Bon après-midi, tout le monde. C'est un grand plaisir pour moi d'accueillir le Premier ministre d'Haïti, Evans Paul, et je suis impatient d'avoir une conversation avec lui sur les jours à venir, qui sont très critiques pour Haïti [...] il est impératif que les élections qui auront lieu en octobre soient un succès pour être en mesure de restaurer la capacité, pour être en mesure de continuer sur la lancée, parce que nous avons des enjeux majeurs sur lesquels nous devons continuer à travailler ensemble.
Donc, je suis impatient de parler au Premier ministre et établir notre programme de coopération au cours des prochains mois, et puis, bien sûr, bien au-delà. Nous avons le développement économique, le développement de la santé, de l'éducation, et des défis majeurs que nous devons aborder. Donc, Monsieur le Premier Ministre, soyez le bienvenu et je me réjouis de notre conversation, » a déclaré John Kerry.
« [...] Je suis ravi d'être accueilli par le Secrétaire d'État, M. Kerry. Je suis venu en tant que Premier Ministre d'Haïti dans le cadre des relations amicales, historiques et cordiales qui ont toujours existé entre nos deux pays, les États-Unis et Haïti.
Je suis Premier Ministre dans le contexte où ma tâche principale est de créer des conditions favorables pour organiser des élections inclusives cruciales. Nous avons eu un premier tour des élections le 9 Août, qui a eu lieu avec quelques problèmes. Nous sommes conscients de ces problèmes, et nous sommes déterminés à corriger ces problèmes en octobre lors du second tour, ainsi que le premier tour de l'élection présidentielle.
Ce qui importe le plus pour nous dans le gouvernement est, tout d'abord, de vous dire merci les États-Unis, parce que vous avez toujours contribué. Vous avez contribué à nous permettre d'avoir les atouts économiques pour organiser ces élections. Mais, nous vous demandons de continuer à nous soutenir en termes de sensibilisation, de prise de conscience national de l'audience internationale.
Nous avons un seul but, une seule option, à savoir organiser des élections pour garantir qu'Haïti puisse continuer sur la voie du changement démocratique. Ce que nous voulons et que nous avons décidé est que l'année prochaine, en janvier 2016 nous aurons un Parlement démocratiquement élu et le 7 Février, nous aurons un nouveau Président démocratiquement élu.
Voilà ce que nous voulons et espérons, c'est que nos partenaires, tels que les États-Unis, serons là pour nous soutenir en vue de permettre à Haïti de créer les conditions favorables pour le développement de ses habitants, » a déclaré le Premier Ministre Paul.
Willy Jean Louis, Redacteur en chef
samedi 17 janvier 2015
Le Directeur General de l'Education Nationale a visite un projet de la Cooperation Espagnole
Le Directeur Général du Ministère de l'Education Nationale et de la Formation Professionnelle, Cadeau Denis, a visité l'EFACAP de Marigot, l'Ecole Nationale des Garçons et le BDS de Raymond-les-bains, le 16 janvier dernier.
La visite du Directeur Général rentre dans le cadre d'une invitation de la Direction Départementale du Sud-Est de l'Education Nationale pour visiter les écoles sus-mentionnées. Il en a profité pour encourager les parents à aider à une meilleure gestion de ces écoles au niveau de la sécurité des bâtiments.
M. Denis a aussi recommandé au Directeur Départemental du Sud-Est de l'Education Nationale, M. Lariveau Richard Hoche, de prendre toutes les mesures nécessaires pour une meilleure gestion de ces bâtiments. M. Hoche se dit heureux de la visite et souhaite toujours trouver la collaboration des autres instances, en particulier en ce qui concerne la qualité de l'Education.
La Responsable de Projets auprès de la Coopératon Espagnole, Olga Regueira Landete, félicite les autorités haïtiennes pour les travaux de construction et de réhabilitation de ces écoles, dans le cadre du Plan de Restructuration et de Modernisation de l'Offre des Services Educatifs (PREMOSE). Elle promet de faire une évaluation des projets, avec son staff, et annonce pour bientôt le lancement de la deuxième phase du Projet.
A la fin de la journee, les autorités présentes ont procédé à la distribution des kits scolaires aux élèves dans les locaux de l'EFACAP.
Willy Jean Louis, Rédacteur en chef
Publié: 16h47
A la fin de la journee, les autorités présentes ont procédé à la distribution des kits scolaires aux élèves dans les locaux de l'EFACAP.
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